Musique Maestro !

Si l’on n’entre pas en poésie sans sonnet, 

On n’entre pas dans la musique sans clé de sol 

Pour ouvrir la portée en armure de bémols 

Aux musiciens comme aux croque-notes les plus sonnés. 

 

Qu’elle vous donne des boutons ou vous fasse frissonner, 

La musique vous emporte, vous décolle du sol ; 

Le temps d’un soupir, l’âme en peine elle console 

Offrant en point d’orgue un plaisir insoupçonné. 

 

Dans le concert des nations, sans hégémonie, 

Les blanches et les noires s’accordent en harmonie 

Au rythme des chansons modernes ou rétro. 

 

On dit que le poème est le chant du cœur, 

Tout comme le chant serait le poème du chœur. 

Allegro, prestissimo, musique maestro ! 

25 Réponses à “Musique Maestro !”


  • Marie France Genèvre

    Bien les jeux de mots
    Texte très agréable à lire, un plaisir

  • Si le concert des nations était pour demain aux aurores, ce serait un concert tôt.

  • Marie France Genèvre

    Allègre et tôt
    Oui, Joëlle

  • Oh ! bravo Marie-France ! Très en forme !

  • Oui, bravo Marie-France!

    En Italie, ce serait  » piani-ssimo »

    ma…qui va sano va lontano, n’est-ce pas, Claudio?

  • Marie France Genèvre

    J’adore

  • Georges, en un petit tour de clef et vibration du coeur, vous nous faites entrer au paradis des musiciens.

    Très jolie partition.

  • Une musique comme on en redemande … mais sans point d’orgue ! Bravo !

  • WEYMESKIRCH Georges

    Merci pour vos commentaires chaleureux, encourageants et agrémentés d’une note d’humour.

  • Je comprends mal cette avalanche de compliments…
    Au premier regard, il s’agit d’un sonnet. Quel bonheur! Mais dès le premier vers, quelle déception! Ce poème n’a de sonnet que le nom, toutes les règles sont bafouées et José Maria de Hérédia, le maître en sonnets, doit se retourner dans sa tombe!
    Restent les jeux de mots…Peuvent-ils à eux seuls justifier une telle complaisance? La seule explication est que les lecteurs sont aussi ignorants que le poète. Je déplorais dans un autre blog le côté amateur d’un grand nombre d’artistes d’aujourd’hui. Il ne suffit pas d’aligner des mots de même sonorité pour que la chose mérite l’appellation poème. Et en l’occurrence, un sonnet est bien autre chose! Je mettrai bien volontiers des liens à votre disposition si vous désirez progresser dans cet art un peu ardu.
    Mais les jeux de mots sont effectivement très intéressants et très bons.

  • Eh bien, mon cher Georges, te voilà bien mal récompensé de ton « audace » ! Je me souviens de tes réticences à faire paraître tes poèmes sur le Blog, tu as osé … félicitations !
    Et voilà qu’après les félicitations de tes amis, tu vois arriver … « Comme un vol de Gerfauts hors du charnier natal »…
    Oh, il n’a pas tort, Monsieur Paul, ton « sonnet » n’est pas un modèle du genre, mais il n’a pas remarqué que les félicitations de tes amis ne portaient pas sur la forme mais sur ce tout autre chose que l’on appelle aussi poésie.
    Et, si les pauvres poètes que nous sommes ne sauraient se comparer à José-Maria de Hérédia, nous sommes un peu comme ses « Conquérants » qui :
    « … regardaient monter en un ciel ignoré,
    Du fond de l’Océan, des étoiles nouvelles. »
    A quand ton prochain poème ?

  • Certes, la prosodie et la poésie ne sont pas toujours soeurs jumelles mais lorsque, dans une grande famille, l’émotion est ressentie et partagée, ne peut-on parler d’esprit de « cor » ? C’était bien, il me semble, le thème du mois !.

    Que celui qui n’a pas fauté jette la première Pierre … ou Paul !

  • Désolé, mais mon (long) commentaire d’hier n’a pas été accepté par la machine (sans doute un problème de débit d’ADSL ?)
    A Paul je redisais que notre blog a publié dès ses débuts un lien vers des conseils de prosodie (voir barre des menus)
    A chacun, je rappelais que la modération et la mesure devraient être l’apanage des créateurs (ou ceux qui se prétendent tels) avec le souci de ne pas blesser ni insulter.
    Nous ne sommes pas complaisants: nous essayons de nous encourager mutuellement !

    Armand Bemer, délégué régional

  • La difficulté pour moi, en tant que modérateur du blog, est de définir quand un commentaire est blessant.
    En tant qu’auteur en autoédition, je demande toujours à mes lecteurs de me signaler les fautes et coquilles qui échappent à ma vigilance lors des nombreuses relectures de mes manuscrits. Cela me permet d’avoir, ultérieurement, des exemplaires presque parfaits. Mais je connais des auteurs – et ils sont majoritaires – qui se vexent quand on leur signale des fautes.
    Là où certains voient dans la critique une opportunité de s’améliorer, d’autres y voient une attaque et refusent de se remettre en question.
    Personnellement, je n’ai vu aucune insulte dans le commentaire de Paul, mais je me doutais bien qu’il serait mal perçu. Que faire alors des commentaires qui ne sont pas des compliments ?

  • Marie France Genèvre

    Ah non, ça ne va pas recommencer…il y a eu un commentaire critique négative, c’est tout

    Chat échaudé…peut-être, car on ne sait pas qui est Paul

  • Non, Marie-France, cela ne va pas recommencer, promis ! Je veille au grain, quitte à ne pas valider un commentaire simplement critique… mais celui-là était passé tout seul, sans attendre ma validation. Pas facile…

  • WEYMESKIRCH Georges

    A qui ai-je l’honneur ? VALERY ou VERLAINE ?
    Il s’avère qu’entre nous, c’est pas le grand Zemmour;
    Mettons un terme à la « paulémique »… sinon on n’est pas couché!!!

  • Joelle di SANGRO

    VALERY ou VERLAINE…

    A moins que ce ne soit OCHON ( pour la bataille…)

    Bravo pour ton humour Georges,

    Car c’est bien l’arme absolue!

  • Comme Georges en avait gros sur la patate, il m’a envoyé un plein sac de ses épluchures.
    Il y révèle effectivement un gisement d’humour qui à lui seul devrait lui permettre de mettre de la distance entre les « courageux anonymes » qui jouent les Zorro sur le net et ceux qui ont le courage et la simplicité d’y publier leurs oeuvres, sans prétention aucune!
    Reste zen, Georges, et continue à partager tes textes avec nous…

  • Tous ces commentaires me font peur, je me demande si j’ai une place sur ce blog, moi qui aime écrire librement, si mes écrits ne sont pas conventionnels, dites-le moi, je me retirerai sur la pointe des pieds……………….

  • Non, Patricia, il n’y a aucune raison d’avoir peur.
    Après l’incident de mai qui a eu pour conséquence la suppression pure et simple de tous les commentaires, je surveille scrupuleusement les commentaires en attente de validation et supprime tous ceux susceptibles de créer une polémique par leur sévérité et leur jugement parfois à l’emporte-pièce, dont les auteurs sont souvent des gens qui profitent de l’anonymat pour se lâcher. Cela dit, certains commentaires passent directement dans le blog sans attendre ma validation. C’est un bug qui arrive de temps en temps.
    Le but de ce blog est de donner l’opportunité à tous les adhérents de s’exprimer librement ; l’intérêt du blog est aussi dans sa diversité.
    Si tous les internautes peuvent toujours inscrire des commentaires, j’ai bien pris conscience du fait que les critiques sèment le trouble et la discorde plus qu’elles n’alimentent le débat et je supprime donc tout ce qui pourrait blesser un auteur.
    Continue donc à nourrir le blog de tes écrits sans crainte, car si on ne peut pas plaire à tout le monde, on est toujours assuré de plaire à quelques-uns et il important, pour la SPAF Lorraine, que ses adhérents puissent publier leurs oeuvres dans cet espace qui leur est dédié.
    Et puis dis-toi bien que tes amis de la SPAF ne te jugent pas et apprécient tes poèmes ; j’en veux pour preuve les commentaires sympathiques qu’ils envoient.

  • Merci Zaz,

    je crois que ce qu’il me manque, c’est de vrais contacts, pianoter sur un ordi, c’est bien mais finalement, je ne peux mettre aucun visage sur ces noms et je finis toujours par me demander ce que je fais là au milieu des artistes de renom et dont la plume m’épate…
    A mon sens, la poésie comporte de multiples facettes, dont celle de la littérature proprement dite mais aussi cette incroyable liberté de composer un tout qui touche simplement les cœurs des lecteurs ou auditeurs par des mots bien ajustés.
    En tout cas grand merci pour ces mots, juste encore une question: avez-vous des règles et lesquelles? Personnellement je me suis retrouvée adhérente après un concours en 2005 où j’étais la première étonnée de mon prix…
    J’aime venir lire sur ce blog génial et je connais Josette, je l’ai déjà rencontrée.

    Excellente journée!

    Pat

  • Bonjour Patricia,

    Non, il n’y a pas de régles édictées pour publier dans ce blog si ce n’est d’être adhérent à la SPAF. Nous avions réfléchi à l’éventualité d’ouvrir nos portes à « n’importe qui » pour finalement y renoncer et ne faire de ce blog qu’un espace réservé aux membres de la SPAF Lorraine. Nous avons juste créé une rubrique pour accueillir des adhérents SPAF d’autres régions.
    S’il y a une règle, elle consisterait à n’envoyer que le meilleur de sa production ; mais je pense que cela va de soi puisque ce blog est, en quelque sorte, la devanture de notre association sur Internet.
    A bientôt donc le plaisir de te lire, par exemple sur le thème de la mer, puisque sauf erreur de ma part, tu n’as pas encore envoyé ton poème.
    Et peut-être à bientôt le plaisir de te voir, par exemple à la prochaine remise des prix ?

  • Pour répondre à Patricia,
    - je compléterai ce qui dit Isabelle, à savoir qu’il n’y pas de raison « d’avoir peur »,
    - le blog est ouvert à TOUS les adhérents de la SPAF Lorraine et nationale,
    - il peut être vu et lu dans le « monde entier », ce qui fait sa force et son caractère magique,
    - en contrepartie, ceux qui publient s’exposent car ils se dénudent, mais c’est la règle dès lors qu’on publie ses « oeuvres »,
    - tu peux mettre un visage sur nos noms puisque nous faisons une présentation de nous-mêmes avec photo et texte libre (j’encourage d’ailleurs ceux qui ne l’ont pas encore fait à compléter cette rubrique),
    - nous nous retrouvons tous à la remise des prix annuelle, qui permettra aussi de présenter ses oeuvres et de nouer des liens,
    - je m’efforce aussi de mettre sur pied une ou plusieurs réunions informelles, décentralisées (à creuser, avec vous les adhérents)
    - finalement, il faut avoir la force de caractère d’accepter les critiques ou de subir des remarques désagréables, mais Isabelle va essayer de « filtrer » les propos des « courageux anonymes » qui balancent leurs remarques, font trois p’tits tours et s’en vont voir sur un autre blog… Je préférerais que dans le cas de commentaires « pointus », le visiteur donne un nom de famille ou un lieu de résidence pour que nous sachions qu’il existe vraiment…

    Armand Bemer, délégué régional Lorraine

  • En complément au mail d’Armand, je précise que je ne fais pas qu’essayer de filtrer les propos des courageux anonymes, je les supprime purement et simplement, sauf quand ils me concernent car j’aime assez savoir ce que pensent vraiment les internautes qui découvrent mes poèmes sans me connaître.
    Pour ce qui est d’exiger un nom de famille et/ou un lieu de résidence, je me suis déjà exprimé sur le sujet : un internaute qui souhaite déposer un commentaire peut mettre n’importe quels nom et prénom et n’importe quelle adresse mail, y compris une qui n’existe pas. J’ai essayé d’écrire à quelques-uns et n’ai pas obtenu de réponse ou alors un message d’erreur m’indiquant que l’adresse mail est erronée. Et je ne peux pas commencer par échanger des mails avec les internautes avant de valider leurs commentaires. D’autant que cela ne change rien sur le fond, à savoir que les critiques négatives sèment le plus souvent le trouble et la discorde et entraînent des commentaires en série qui vont crescendo en animosité jusqu’à ce que volent les noms d’oiseaux !!!

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