Archive mensuelle de mai 2011

Le thème du mois de juin : l’enfance

A la veille du 1er juin, j’ai le plaisir d’introduire le nouveau thème proposé par Marie-France : l’enfance.

Marrakech (huile sur toile)

mo29marrakechlejardindemajorelle.jpg

Avec ou sans

Seul avec quelqu’un ?
Présence, pas compagnie
Mais ça peut suffire !

Maman

Maman j’ai tant d’amour à t’offrir 

Maman j’ai tant de bonheur dans mon cœur 

Que te dire, maman me fait un peu souffrir 

Que te dire maman, fait jaillir mes pleurs. 

 

Tu es aux quatre coins de mes souvenirs 

Tu es l’aurore, et le crépuscule de mes jours 

Ton visage qui jamais ne saura mourir 

A gravé en moi, ce beau songe d’amour. 

 

Belle comme la fleur, qui vient de naître 

Comme ce bouquet, aux quatre saisons 

Que te dire sinon je t’aime, de tout mon être 

Que murmurer oh ma mère ! oh maman ! 

 

Que je sois dans ce coin d’ici ou de là-bas 

Ton visage, comme un tendre souvenir 

Voyage dans ma pensée, au plus profond de moi 

Comme un songe, qui ne pourra jamais finir. 

 

Comment peut-on aimer, et ne savoir le dire 

Comment te dire, je t’ai tant aimé 

Ne va jamais, ou les autres vont mourir 

Ne laisse pas ce sourire à jamais me quitter. 

 

Maman, j’ai tant d’amour à t’offrir 

Oh maman !  J’ai tout ce bonheur dans le cœur 

Que te dire je t’aime, me fait un peu souffrir 

Que te dire maman c’est un hiver rempli de fleurs. 

Hammam (huile sur toile)

mo28hammam.jpg

Le vieil homme et son passé

Songe penché, sur son passé 

Avenir flottant, sans un futur 

Le vieil homme pleure en secret 

Sa vie enfouie, n’a plus d’azur. 

 

Ses printemps, n’ont plus de soleil 

Et son automne, n’est pas loin 

Il partira, un matin,sans réveil 

Il s’en retournera, laissant ses chagrins. 

 

Sur un banc de pierre, il est en pleurs 

Son vieux visage s’est fermé 

Les mains, posées sur son cœur 

Il se souvient; de la route passée. 

 

Une larme, coule sur sa joue 

Elle court frileuse, dans le chagrin 

Son regard s’est fermé au bout du jour 

Le vieil homme est mort sans lendemain. 

 

Un oiseau vole, dans le soir 

Une prière, monte pleine de regrets 

La feuille tombe, sur un lit d’espoir 

Et l’automne triste, pointe son regard. 

Notre amitié

Amis qui êtes partis 

vers d’autres villes, d’autres rivages 

dans les nues, vos yeux sourient 

des yeux qui mangent le visage 

 

Sans vous, je refais la route 

où le sable a laissé des traces 

je les suis, en proie au doute 

les pas qu’un peu de vent efface 

 

Dans le jardin d’herbes folles 

où résonnait du flamenco 

lilas et muguet s’étiolent 

et les soirs vont decrescendo 

 

Le vin n’est plus aussi doux 

que celui qu’on buvait hier 

celui-ci avait le goût 

de la vie partagée en frères 

 

Son rire aux parfums d’Afrique 

ta liberté de fils du vent 

au sein de la mosaïque 

une Vierge noire à l’Enfant… 

 

O doux souvenirs aimés 

amis, vous me manquez déjà 

vite s’approche l’été 

regardez, il vous tend les bras ! 

 

Comme si le temps s’arrêtait 

j’attends celui des retrouvailles 

au coeur du jardin secret 

un grand feu de bois et de paille 

célébrera l’amitié. 

 

Fichus

Si le cœur durcit
Tant qu’il ne reconnaît plus
Le pouvoir des pleurs.

La petite chambre du Sud

Disperser la poussière des choses 

 

Non vraiment rien n’a changé 

 

Sur la chaise le chapeau de l’ultime saison et la fleur ouverte d’un col de robe 

 

Au bord de la table une carafe à combler comme un désir 

 

A droite la coiffeuse où un peigne montre ses dents d’ivoire 

et le miroir ovale où l’attente se regarde 

 

Le volet tremble un peu lorsque l’air dénoue ses colliers 

mais le temps n’a nulle envie de s’envoler 

 

Un souffle se faufile entre les draps de lavande 

 

L’ombre des rideaux s’allonge 

et quelques lueurs y accrochent parfois leurs ailes de papillon 

 

Des patins de feutre glissent dans le soir 

 

Marthe dépose un plateau sur la table basse et le thé infuse comme un secret 

 

Au cours de cette promenade immobile 

cueillir le bleu de menthe du silence 

 

puis converser avec la solitude 

loin très loin 

 

dans la petite chambre du Sud 

Ciel d’orage

mo27cieldorage.jpg

Bon jour

Je suis gaie comme un pinson
Mais pas celui de mon jardin
Il m’a dit d’un gazouillis
Au milieu du gazon
Qu’il n’allait pas bien ce matin…

« Quelques soucis de nid
De grain, ce jour, pas de festin,
Et la pie rôde, je pars d’ici »
Quelle vie de chien
Non, de serin…

Je n’y comprends plus rien…
A qui donc se fier pour aller bien ?
Au poisson dans l’eau ?
A la biche, au vieux pou ?

Aux roulettes, à la pêche,
La banane ou la patate ?
A la forme de la frite,
Au bain d’huile, à la gaze ?

Non vraiment, ça déroute…

Tableau

L’ombre coule 

mon ami 

comme une encre 

de Chine 

 

Si tu veux 

dessinons 

nos visages 

dans la nuit 

Ma terre natale

Terre lointaine, que j’ai quittée 

Un matin de soleil brûlant 

Je me souviens, des champs de blé 

Moi je partais vers l’horizon. 

 

Toi, ma terre natale 

Ma pensée ne t’a quittée 

Et quand ici le vent court en rafale 

Je revois ton soleil qui rayonnait. 

 

Mon beau pays, au ciel si bleu 

Je t’ai laissé toute ma tendresse 

Et quand ici, la pluie mouille mes yeux 

Je revois la maison de ma jeunesse. 

 

J’entends encore, ma mère 

Tu es toujours auprès de moi 

Je revois encore mon père 

Qui tirait la charrue, dans le soir. 

 

Je revois mes frères, penchés sur le labeur 

Qui arpentaient les sillons, dans le soir 

J’entends encore , la voix de mes sœurs 

Qui chantonnaient, penchées sur le lavoir. 

 

Ma terre, mon pays de toujours 

Mon regard est plein de ton soleil 

Et je crois qu’au bout de mes jours 

Je reviendrai, pour mon dernier sommeil. 

 

Me reposer près de toi, terre qui m’a donné le jour. 

 

              

Hommages à mon père disparu 

Le grand amour

Encore une petite « chanson d’amour » un de mes thèmes préférés…. Quelques toutes petites entorses à la versification classique ainsi que l’élision non conventionnelle de certains E muets, même pas chantés….Et un petit décalage entre les textes écrit et chanté …. Question de période…. Bof, même pas grave….

Cliquez pour écouter :
http://boaretto.unblog.fr/2011/05/11/le-grand-amour/

LE GRAND AMOUR

Refrain
Ne le croyez pas éphémère
L’amour n’est pas une chimère
Le grand amour est sans pardon
Il prend les cœurs à l’abandon.

C’est pas amours à la légère
Petites amours passagères
Pas amours d’une nuit un jour
Rimant jamais avec toujours
C’est pas amours de bagatelle
Juste pour froisser vos dentelles
C’est pas amours de gigolo
Qui vous laissent le cœur dans l’eau

Ne le croyez pas éphémère
L’amour n’est pas une chimère
Le grand amour est sans pardon
Il prend les cœurs à l’abandon

C’est pas amours de circonstance
Juste pour tenir la distance
Pas amours de porte-monnai’
Pour s’enrichir ou se ruiner
C’est pas amours de ménagère
Sentant la soupe potagère
Pas amours de petit bourgeois
Comptant ses peines et ses joi’s.

Ne le croyez pas éphémère
L’amour n’est pas une chimère
Le grand amour est sans pardon
Il prend les cœurs à l’abandon

S’il ne frappe pas à ta porte
Patiente un peu le temps qu’importe
Persiste donc à naviguer
Mais garde le coeur aux aguets
Le grand amour quand il arrive
Coupe les ponts quitte la rive
Hisse la voile et suit le vent
Plus rien ne sera comme avant.

Ne le croyez pas éphémère
L’amour n’est pas une chimère
Le grand amour est sans pardon
Il prend les cœurs à l’abandon

Ne plus rien…

Je voudrais…te prendre la main, 

                            Quand nos cœurs se font un peu lourds, 

                            T’emmener le long des chemins 

                            Jusqu’à ce que tombe le jour, 

                            Et surtout, ne plus dire rien … 

                            Que tu entendes mon amour. 

 

                            Je voudrais…te conter l’histoire 

                            D’enfants en quête de tendresse 

                            Qui ont cousu des nids d’espoir 

                            Sur de grands arbres de caresses 

                            Et suspendu dans leur mémoire 

                            Les chauds soleils de leur jeunesse. 

 

                            Je voudrais…puiser dans tes yeux, 

                            Où pétille la petite fille, 

                            Le grand courage d’être vieux, 

                            De ne pas partir en guenilles, 

                            Et d’allumer toujours le feu 

                            D’un vrai bonheur qui s’écarquille. 

 

                            Et je voudrais… rentrer le soir, 

                            Sur ton épaule ma main posée, 

                            Taire les mots, si dérisoires, 

                            Tout simplement te regarder, 

                            Et puis laisser la nuit s’asseoir… 

                            Pour boire un peu d’éternité. 

Test d’aptitude présidentielle

Tout homme a ses travers, mais pour certain métier
Comme simple cariste ou pilote de chasse,
On ne peut les cacher avant qu’on les embrasse
Car il faut réussir tout un test en entier.

Mais pour bien diriger un pays, nul portier
Psychiatre ou psychologue explore la filasse
Des neurones vibrant un peu trop de l’audace
D’un candidat briguant ce rôle en vrai rentier !

Pourtant, un chef d’Etat n’est pas qu’une apparence,
Il doit au fond de lui supporter toute outrance
Que saurait révéler son penchant naturel.

Il serait ainsi bon qu’un peuple démocrate
Impose à son élite un juste examen tel
Qu’il ne pourra plus guère élire un phallocrate !

Le soleil

14lesoleil.jpg

Quête

Dites-moi 

je vous prie 

où sourit 

le visage des mots… 

Te souviens-tu

Te souviens-tu, de notre enfant 

Cet ange blond,dans notre vie 

Te souviens-tu, de ce printemps 

A qui, l’amour donna la vie. 

 

Fragile, comme le blé qui penche 

Docile, comme la fleur qui dort 

Te souviens tu, dessous les branches 

Je caressais, ses cheveux d’or. 

 

Te souviens-tu, de ses cinq ans 

Quand, elle courut à la forêt 

Te souviens-tu de cette enfant 

Pour qui, le vent avait chanté. 

 

Elle fut pour nous, chaque saison 

Elle fut pour nous, un long chagrin 

Elle aimait tant, cette chanson 

Qui parlait, de pays lointain. 

 

Elle écrivait des poèmes 

A l’ombre du soleil d’été 

Elle écrivait, le mot je t’aime 

C’était, pour elle la liberté. 

 

Elle écrivait, des mots d’amour 

Que j’ai gardé, dans ma mémoire 

Je me souviens, de ce jour 

Où elle courut jusqu’au manoir. 

 

Elle n’était encore qu’une enfant 

Âme innocente, de cet âge 

Pour l’amour d’un jeune garçon 

Sur nous, elle tourna une page. 

 

Elle n’était encore que notre enfant 

Qu’est devenu son destin 

Elle aimait tant, cette chanson 

Qui parlait, de pays lointains. 

 

Te souviens-tu, de cette enfant 

Un ange blond, dans notre vie 

Te souviens-tu, de ce printemps 

0ù, par amour, elle est partie. 

Coucher de soleil sur Saint Cado

mo26photobretagnecoucherdesoleilsursaintcado.jpg

Présages

Aujourd’hui, je m’ennuie,
Ne suis pas en forme,
C’est mon horoscope qui l’a dit
Et il a raison, forcément.
Mes horoscopes devrais-je dire.
J’en ai lu cinq, tous différents.

J’ai choisi celui qui me conseille
De ne rien faire aujourd’hui,
Ca m’arrange.
Un autre me dit « attention les finances », 

Je l’oublie,
Prends celui qui m’annonce fortune.

Le dernier me promet Amour et volupté,
Je le mets en premier
Grâce à eux, je sais enfin
Où je mets les pieds
En cette journée
Ouf… !!

Mais attention au Destin,
Il rôde ce matin…

Coquin

Pendant mon bain  un pigeon bleu 

à la fenêtre 

Une oeillade  un signe d’aile 

à la dérobée 

Puis ce frisson  le doux voyeur s’est envolé 

Vertiges

Haut dans le rêve 

sur une tige et à son acmé… tous les vertiges : 

l’aimée au parfum de jasmin, 

un trapéziste dans son numéro de voltige, 

un mirage de canicule comme après le vin, 

la solitude d’être un petit point de l’univers 

et puis, un oiseau… 

vertige de l’équilibre dans  le ciel… 

Mot d’enfant

Nous avons eu comme beaucoup de grands parents, le bonheur de recevoir  les « jeunes générations » durant les vacances de Pâques. 

Ce ne fut que chahuts cris et franches rigolades (avec bien sûr quelques chamailleries assez Homériques), comme le matin où, me levant, je trouvai mon petit-fils assis sur son lit, la tête dans les mains. 

Comme je lui demandai s’il avait bien dormi, il me répondit : 

-J’en ai marre ! elle a pas arrêté de parler toute la nuit ! 

(Allusion à sa sœur cadette qui s’esclaffait dans la salle à manger). Interrogeant  cette dernière à ce sujet, je reçus la réponse suivante : 

-C’est même pas vrai ! J’ai juste parlé un peu ce matin parce que j’avais mal au g’nou ! Mais c’est normal, parce que j’ai attrapé la croissance ! 

-Ah bon ! ai-  je répondu et quand est-ce que tu comptes la relâcher ? 

- Pourquoi ?ça se relâche ? Dit-elle étonnée. 

Et son frère qui  nous rejoignait de lui asséner : 

-Ca serait bien que tu me relâche moi, avant que la croissance te laisse tomber ! 

 

Le Pouldu (Plage de Kérou)

mo25bretagnelepoulduplagedekrou.jpg

L’amie du soleil

A toi, ma meilleure amie 

Que nul autre ne connut 

Sur cette pierre de l’oubli 

Je pose l’hymne du salut. 

 

Tu étais fille du soleil 

Et ta peau noire le portait 

Tu m’avais appris le soleil 

Tu m’avais appris son secret. 

 

Et de ce sable à l’infini 

Et de cette eau que tu cherchais 

Que de fois près de la nuit 

Tu m’as dit j’y retournerai. 

 

Tu fus celle qu’on méprisait 

Tu fus celle qu’on insultait 

Que de fois j’ai pansé tes plaies 

Tu disais toujours, laisse- les. 

 

J’ai mis ta main, dans ma main 

J’ai mis ton cœur dans mon cœur 

Souvent, j’ai compris ton chagrin 

Tu disais va, je n’ai pas peur. 

 

Tu avais perdu, ta mère 

Tu n’avais plus de frère 

Que de fois près de la rivière 

Tu m’as dit, j’y retournerai. 

  

Tu m’avais appris le désert 

Tu m’avais appris ton pays 

Tu m’avais dit rien là-bas n’est vert 

Le sable est blanc jour et nuit. 

 

Sur cette pierre refroidie 

Je pose l’hymne du salut 

A toi, ma meilleure amie 

Que nul autre ne connut. 

 

Ta peau noire, je me rappelle 

Tu étais fille du soleil. 

Le thème du mois : l’enfance

Aujourd’hui a été publié le dernier poème sur le thème “L’amour”. Seulement 6 adhérents ont participé à ce thème…
Dès demain et jusqu’au 31 mai, nous aurons des oeuvres hors thème.
Ceux qui le souhaitent peuvent d’ores et déjà m’envoyer leurs oeuvres pour le thème de juin dédié à l’enfance.

Dix ans déjà

Il y a dix ans déjà
Tu m’as ouvert tes bras
Moi, je n’avais pas de nid
Juste un lit trop grand et froid

Contre toi, comme sous une aile
Que ta chaleur m’a semblée douce
Ta voix me murmurait à l’oreille
« Moi je t’aime, aime-moi »

Sans attendre l’on s’est donné la main
Pour marcher ensemble vers la sortie du bois
Nous étions alors nus et maigres
Mais nos yeux étaient feux de joie

Nous avons ri, pleuré, bu et fumé
L’herbe surnommée ganja
Pour que le passé cicatrise
Nous nous sommes débattus parfois

Seule, j’étais à la fenêtre
Et rêvais à un homme comme toi
Dix ans ont passé, peut-être
Mais chaque jour est une première fois

Les jours d’hiver, lorsqu’il fait noir
Au printemps quand revient la lumière
Comme j’aime être à côté de toi
De notre Amour, je suis la mère
Et ta sagesse montre la voie

A toi, je resterai fidèle
Que l’on jeûne ou que l’on festoie
A tes côtés la vie est belle
Et nos deux cœurs au diapason
Tandis que filent les saisons
Chantent que notre Amour est roi.

Si…

Cette ombre bleuissant sur l’ocre des déserts

L’ultime méharée au safran de la dune,

Et ce khôl soulignant l’aube de l’univers

Pour guider en tes yeux la barque de Neptune.

 

Ces fiers oiseaux criards déchirant les hivers,

Brodant tous les brouillards pour en parer nos lunes,

Cette brune pythie immolant mes travers,

Gravant sur notre peau le secret de nos runes.

 

Les alizés froissant la soie de mes silences,

Murmurant aux lagons nos rêves d’indécences

Et les brûlants parfums des corsages ouverts.

 

Ces doigts échevelant les harpes de l’écume,

Abritant nos baisers loin du jusant pervers

D’une Odyssée ourlée aux franges d’une plume…

 

Si c’était Toi ?

 

 

Un ancien texte que j’ai beaucoup  retouché. On reste toujours un peu  « commençant », et c’est tant  mieux ! Ne m’en voulez-pas pour le « e » de soie qui est suivi par une consonne…..mais c’est voulu. Il est vrai que j’aurais pu écrire « froissant leur soie à mes silences », mais ce sont bien de mes silences dont je parle, et de leur soie, alors… je n’ai pas fait cette concession à la prosodie classique. Il faut parfois être un peu rebelle…

 

Palmarès Prix Alain Fournier Centre d’Art Lorrain

Le Centre d’Art Lorrain où excellent les artistes peintres, patronne chaque année un Concours International de Littérature dont le dernier fut consacré à Jacques PREVERT.

 

Le succès du concours grandissant d’année en année, de nombreux participants originaires de France, mais aussi de Belgique et du Luxembourg ont concouru pour l’attribution des Prix. Chacun d’entre eux y a apporté sa contribution. Qu’ils en soient remerciés, même si tous n’ont pas été récompensés.

Le Comité de lecture, sous la haute Présidence de M. Antoine DOUDOUX, s’est réuni récemment pour en établir le palmarès.

(Pour découvrir le palmarès, cliquer sur ce lien : Palmarès Prix Alain Fournier Centre d'Art Lorrain dans Remises de prix doc palmars2011centredartlorrain.doc )

12



alfalsafa |
NIDISH EDITIONS : Contes - ... |
La Moire d'Ohrid |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Elle-Emoi
| Poèmes, Amour et Société
| Ned La Desosseuse