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Compte-rendu café littéraire Isabelle Chalumeau

En ce soir du mois de mai, avait-il l’esprit jaloux ce timide soleil printanier qui s’éclipsa
rapidement alors que, chez les Frères Marchand, s’installait un climat chaleureux d’échange et de partage dans le groupe d’une vingtaine de membres entourant la personnalité à l’honneur qui se préparait à donner vie, matière et coloration au dernier café littéraire de la saison 2012 – 2013 ? Nul vraiment ne s’en soucia dans l’attention soutenue qu’il portait au jeu nourri des questions de l’animatrice, Nicole LAPORTE, et des réponses étayées de l’invitée, Isabelle CHALUMEAU.

Pour lire la suite, cliquer sur ce fichier :
fichier pdf Café littéraire du 30.05.13 Isabelle CHALUMEAU

Rappel café littéraire Isabelle Chalumeau

Chers tous, 

Le jeudi 30 mai prochain, nous aurons le plaisir de nous retrouver, chez les Frères Marchand, autour d’Isabelle CHALUMEAU  pour passer ensemble la soirée littéraire qui lui est destinée. 

Et j’ai le plaisir de vous préciser le menu qui sera mitonné par le Chef Cuisinier : 

- Pavé de saumon, beurre blanc, petits légumes ;

- Salade et fromages ;

- Crème brûlée bergamote. 

Comme à l’accoutumée, un verre de vin accompagnera les différents plats. 

Agréable mise en bouche…, ne tardez pas à me retourner votre bulletin de participation.

A bientôt, 

Amitiés. 

Nicole METIVIER.

fichier pdf Invitation I. CHALUMEAU

Café littéraire Isabelle Chalumeau

Comme l’adage affirme : ‘en mai, fais ce qu’il te plait … « , il nous plait de penser que vous aurez plaisir à assister à notre dernier rendez-vous littéraire précédant la période des grandes vacances car vous y rencontrerez Isabelle CHALUMEAU qui viendra nous entretenir de ses deux principales activités « professionnelle et littéraire » et nous fera parcourir un petit bout du chemin emprunté par la narratrice de son dernier ouvrage : Véga.

Soirée prometteuse dans un climat agréable de joli mois de mai.

Venez nombreux !

Dans l’attente de recevoir votre bulletin de participation et de vous retrouver prochainement,

Je vous adresse toutes mes amitiés.

Nicole METIVIER.

fichier pdf Invitation I CHALUMEAU Café littéraire

Véga, la terreur du p’tit chemin

Véga, la terreur du p'tit chemin dans * CHALUMEAU Isabelle chalumeau-vega-la-terreur-du-ptit-chemin-1ere-de-couverturechalumeau-vega-la-terreur-du-ptit-chemin-4e-couverture dans Publications

Passage TV

Voici le reportage que France 3 m’a consacré lundi 30 janvier 2012 :
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Elles

Elles dans * CHALUMEAU Isabelle Elles-1ère-de-couvertureElles-4e-couverture-V3 dans Publications

Le cri des ombres

La tête me tournait : j’ai fermé les paupières.

Un homme se pencha pour ramasser des pierres,
Une arme redoutable au poing d’un révolté,
Au nom de la justice et de la liberté,
Pauvres mots bafoués dans un pays en guerre.
Un père pleure un fils qu’il ne connaissait guère
Mais que son peuple acclame en martyr idéal
Pour secouer le joug du monde occidental.

Une femme cachée aux regards sacrilèges
Disparaît sous le voile. Il est des sortilèges
Aux griffes des tyrans plus forts que la raison.
Pour punir l’adultère ou le vol d’un blouson,
La loi prend une main, parfois même la vie
Et transforme une peine en vengeance assouvie.

De jeunes orphelins sans larmes dans les yeux
Sont les muets témoins de mon Noël joyeux.
Ni bonhomme ni rêne et point de cheminée
Pour ces laissés-pour-compte, enfance assassinée.

Les huîtres fleurent fort et le saumon sent bon,
Dans le four se prépare une dinde, un chapon,
Le champagne pétille au son des mitraillettes
Et des gouttes de sang ternissent nos paillettes.
Le rire et les sanglots se livrent un combat
Sans même devenir le sujet d’un débat.

Mais j’entends des cailloux jetés dans nos soupières.
Le cœur me débordait : j’ai rouvert les paupières. 

Lettre au Père Noël

L’enfant s’agenouilla dans le noir de sa chambre
Pour prier en secret sans lumière et sans bruit,
Rabaissant sur ses pieds la chemise de nuit
Propre de ce matin, premier jour de décembre.

« Petit Père Noël, je ne veux en cadeau
Ni robe ni jouet, pas même une poupée ;
Je n’ai qu’un seul désir : ne plus être frappée.  »
Se levant, la petite écarta le rideau…

La neige étincelait sous un rayon de lune,
Le givre sur les fils, dentelle de cristal,
Eloignait la douleur du souvenir brutal ;
La fillette coiffa sa chevelure brune.

Au son d’un grincement sa bouche se crispa ;
Quand la porte s’ouvrit, sa figure sereine
Ne laissait rien paraître. « Ô Marie ! Ô ma reine ! »
Dit-il. Elle, en un lourd soupir : « Bonsoir papa. »

Encore (à ma mère)

Qu’il me paraît lointain, le temps des désaccords,
Lorsque l’adolescente accusait père et mère
D’un constant mal de vivre où l’enfance éphémère
Avait perdu son âme en différents décors.

Dans l’écho de ta voix que l’absence édulcore
Ne me parviennent plus certains propos amers,
Mais des murmures doux comme le vent des mers.
Le temps passe et me ride et mon cœur pleure encore. 

Le village

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Si j’étais un volcan…

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Si j’étais… un bateau

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Le soleil

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Aimer à Bruges

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Le silence des églises

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Vies croisées de Zaz Chalumeau

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Vies croisées, suite de La lavandière d’Igney et Malou, est le 3e tome de la saga familiale intitulée Colin-Maillard.
Format 14×20 cm - 472 pages - 15,00 euros (+ 5 euros de frais de port).

 

La mort d’un ami

Ces derniers jours passés dans l’ombre et la souffrance,
À surveiller ton souffle au rythme de ma peur
Ont habillé le temps d’un voile de stupeur
Que la mort a levé pour notre délivrance.

Tu n’as longtemps montré que de l’indifférence
Face au mal qui plongeait ton corps dans la torpeur,
Et j’ai compris trop tard ton silence trompeur,
Quand tu marchais déjà sur ton chemin d’errance.

Ton souvenir me hante au-delà du chagrin
Et mon cœur à jamais reste le tendre écrin
D’un amour réciproque au secret de nos âmes ;

Mes amis de toujours te trouvaient bien mignon,
Mais il me semble ouïr le refrain de leurs blâmes ;
Si tu n’étais qu’un chien, tu fus mon compagnon.

 

*          J’ai écrit ce poème le 28 juillet 2000 en souvenir de Gréta, une gentille femelle labrador. Le dimanche 5 septembre 2004 à 23h30, notre chienne labrador Lorca est allée rejoindre sa copine. Je n’ai pas trouvé tout de suite de mots assez forts pour traduire la peine ressentie. Car si je n’ai jamais été la maîtresse de Lorca, elle était devenue mon chien. Alors ce poème est aussi pour elle. 

 

La bûche

Cette année-là, nous étions invités pour Noël chez un cousin et nous avions proposé d’apporter le dessert. Chez le pâtissier, nous avions opté pour la traditionnelle bûche, de taille imposante car nous serions une quinzaine de convives à table, dont une majorité de jeunes gens qui ne feraient pas l’impasse sur le dessert, même après les huîtres, les escargots, la dinde, la salade et le fromage ou quels que soient les mets choisis par la cousine. J’avais proposé de récupérer la bûche commandée en rentrant du bureau tandis que Monique se chargeait des achats de dernière minute.
Le soir du réveillon, nous entassâmes tous les cadeaux dans le coffre, après un contrôle rigoureux pour s’assurer que nous n’avions oublié aucun membre de la famille. Il commença à neiger, pour le plus grand plaisir de mon fils. Monique se mit au volant ; elle conduisait prudemment et je me sentis glisser dans le sommeil. Je ne luttai pas ; le trajet d’une heure allait durer plus longtemps à cause des intempéries.
À notre arrivée, on nous aida à tout décharger puis on passa à table.
L’apéritif battait son plein. Les plats chargés de cakes salés circulaient de main en main et l’alcool déliait les langues. Chacun racontait pour soi-même ses déboires professionnels, ses exploits sportifs, ses expériences associatives ; personne n’écoutait mais tous contribuaient au brouhaha assourdissant qui régnait dans la salle à manger.
On passa à table et les mets se succédèrent : foie gras, saumon fumé, huîtres, escargots et dinde, le tout arrosé des meilleurs vins de la cave du cousin. Durant quelques secondes, je pensai aux réveillons de mon enfance : brioche et chocolat chaud…
Un trou normand donna l’occasion d’une pause et j’en profitai pour approcher les cadeaux de la table. La distribution commença sous les cris enthousiastes des enfants énervés par la fatigue et l’attente. La cousine alla chercher le plateau de fromages et la salade.
Puis les minutes s’écoulèrent et s’étirèrent et je me demandais ce qu’ils attendaient pour apporter la bûche…
– Miséricorde ! m’exclamai-je, la bûche !
J’avais oublié de passer à la pâtisserie. 

Contrastes

Quand Noël se prépare au début de décembre,
J’ai toujours dans le cœur des sentiments confus :
Souvenirs douloureux pour l’enfant que je fus
Et charmes des parfums de cannelle et gingembre.

La ville s’illumine un peu plus chaque jour
Et dans les magasins, les petits s’émerveillent
Sous l’œil intransigeant des caméras qui veillent
Au ballet des vendeurs, de la foule alentour.

Pour garnir le sapin, des mètres de guirlande ;
Au menu : fruits de mer, timbales d’escargots,
Une dinde aux marrons, légumes en fagots,
Surenchère aux cadeaux, fête que j’appréhende.

Des gens de foi, bien sûr, parlent du Fils de Dieu,
Au chaud, dans une église, en chantant des cantiques
À la gloire du Père, aux paroles mystiques,
Apaisantes pour l’âme en cette heure et ce lieu.

Hélas ! aucune trêve en cette nuit divine ;
À l’autre bout du monde, à côté de chez soi,
Sur un homme s’étend l’ombre du désarroi
En face du trépas qui de loin se devine.

L’un succombe à l’orgie, un autre meurt de faim ;
Les desseins du Seigneur souvent semblent étranges
À qui ne veut pas croire à l’histoire des anges,
En la vie éternelle, en l’harmonie enfin.

Certains disent qu’il faut beaucoup souffrir sur terre
Pour accéder plus tard au Royaume des Cieux ;
C’est pourquoi le martyr reste silencieux
Quand le poète écrit par refus de se taire.

(Extrait du recueil Rouge et Noir Eden) 

Ô femme universelle

Au-delà de la mort, Ferrat chante Aragon
Et la femme toujours est l’avenir de l’homme,
Qu’elle obéisse au maître ou croque dans la pomme,
De New-York à Paris, d’Alger à Saigon.

Cheveux courts sur la nuque ou très longs sous le voile,
Elle offre un corps d’albâtre ou d’ébène à l’amant,
Ou l’époux tyrannique, objet de son tourment ;
En ses yeux meurt ou naît la lueur d’une étoile.

Quelquefois lapidée, elle expire en public
Pour avoir osé vivre un amour adultère ;
Ailleurs, l’homme trompé traite plus bas que terre
L’infidèle à l’abri d’un appartement chic.

Qu’il soit ou non béni, le fruit de ses entrailles
Reste son privilège et sa force et son droit ;
En son ventre fécond, le futur enfant croît
Et sa mère construit d’invisibles murailles :

« Que ma fille jamais ne subisse d’abus,
Qu’au soleil de son père elle vive authentique,
Et mon fils ne succombe au champ patriotique,
Comme chair à canon sous le feu des obus. »

(Ce poème a remporté le Prix Charles Maire au concours Graffigny 2010 – NDLR) 

 

La Toussaint

Les fleurs de mon enfance, autres pour la Toussaint,
Répandaient sur mon âme un baume imaginaire
Car je ne connaissais, de l’oncle poitrinaire,
Que son nom sur la tombe et son portrait succinct. 

Les larmes de Grand-mère arrivaient à dessein
Pour clore l’oraison, rituel centenaire,
Et nous suivions le pas d’un valétudinaire
Qui tremblait en serrant un bouquet sur son sein. 

Mes défunts d’aujourd’hui sont des êtres que j’aime
Mais je ne pose rien, pas même un chrysanthème,
Sur la pierre glacée à l’ombre du caveau ; 

Car mes chers disparus survivent dans ma tête,
Un monde romanesque issu de mon cerveau,
Et nul ne me dira quand célébrer leur fête.  

(Extrait du recueil Rouge et noir Eden publié en 2005)  

Merci pour vos avis, critiques et conseils 

 

Un porte-bonheur…

Nous fêtions ce week-end les soixante ans d’une amie. Au moment crucial d’ouvrir les cadeaux, elle hésitait à s’emparer du très gros paquet superbement emballé et scotché par de multiples bandes brunes adhésives.
Lorsqu’elle s’y attela, elle découvrit, parmi de vrais cadeaux comestibles, une multitude de canulars emballés individuellement : vieilles casseroles, clé à molette géante, entonnoir, etc. Et soudain, une merde, une véritable crotte nauséabonde fit son apparition ! Parce qu’on la surnomme la Tata des toutous depuis qu’elle garde des chiens, chacun crut à une mauvaise blague et regardait autour de soi pour découvrir l’indélicat. Notre amie décida d’en rire, un peu jaune… mais enfin, nous étions tous entre amis et une mauvaise intention était à bannir. 

L’explication ne tarda pas à venir de la part d’un couple de retraités farceurs sur le point de déménager. Il avait eu l’idée du colis truffé de vieux objets, Elle avait acquiescé. Il s’en occupait, Elle le laissa faire. Quelques jours plus tard, après avoir nettoyé la caisse du chat et emballé la crotte dans du papier journal, Elle jeta le tout dans un carton à proximité manifestement destiné à la décharge. Il continua à glaner les vieux objets, les emballa et les déposa dans ledit carton ! 

Et voilà comment une crotte s’est malencontreusement glissée dans le colis cadeau ! Alors que certains doutaient encore de la bonne foi de nos retraités à la fois hilares et confus, notre sexagénaire déclara que cette merde n’était pas la première qu’elle prenait en main depuis qu’elle garde des chiens qui ont parfois le chic de s’oublier sur les trottoirs. Et cela lui avait toujours porté bonheur !

Le non-voyage

Si les frimas d’automne enveloppent la terre
Tous les matins d’octobre, à dix heures l’azur
Élimine soudain le flou du ciel impur
Et l’éblouissement soulève le mystère.

Des arbres ont vêtu leur parure carmin,
D’autres préfèrent l’or ou le jaune et le fauve,
Les oiseaux migrateurs désertant leur alcôve
Empruntent chaque année un pénible chemin.

Suivre sans réfléchir l’appel de la nature
Me paraît illusoire et vaine liberté,
Pourtant je les envie et la captivité
Dont je me sens victime aiguise la torture.

Surtout ne pas chercher à comprendre pourquoi !
Survivre à chaque jour, rester dans l’ignorance,
Se refuser le rêve au-delà de l’errance,
Ne pas voir que le monde, à l’abri, reste coi ! 

(Extrait du recueil « Rouge et Noir Eden »)

Merci pour vos avis et conseils.

L’oiseau

Un oiseau m’appelle
Dans les arbres nus.
Sa voix est si belle
Que j’en suis ému.

Mais à tire d’aile
Et à mon insu,
L’ami infidèle
A quitté ma rue.

Plus rien dans le ciel
Ne me distrait plus.
J’apprends mes voyelles :
A – E – I – O – U

(Extrait du recueil « Dessine-moi un poème » illustré par Monique Colin)
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L’océan

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Le carillon

J’avais déjà choisi la branche du lilas
A laquelle accrocher l’instrument de musique,
Quelques tubes d’acier, assemblage magique
De trois fils de nylon en un doux entrelacs.

Du passage du vent naissait la mélodie,
Un refrain nuit et jour sans cesse inachevé,
Chant mêlé d’un soupir à mon cœur enlevé,
Concerto, symphonie ou douce rhapsodie.

Métronome joyeux de mon secret tourment,
Il berçait mon chagrin dans l’âme de ses notes,
Charmes ensorceleurs comme autant de menottes
Autour de tes poignets, garants de ton serment.

Mais un soir, souviens-toi, le gardien de mes rêves
A préféré se taire et le zéphyr en vain
Se faufile toujours, comme un souffle divin,
Jusque dans le plaisir d’espérances trop brèves.

Il me semble parfois dans le silence ouïr
Le glas de notre amour et l’angoisse me glace ;
Alors abandonnant mon crayon, je t’enlace,
Et mon corps par le tien se prépare à jouir.

(Extrait du recueil Du côté de tes Yeux – 2002) 

Florence

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C’est l’histoire d’un…

C   ‘est un roman de gare, une vilaine histoire :
O   n rimait dans un blog, virtuelle écritoire.
R   ien ne venait gâcher le plaisir de chacun.
B   ienvenu sous un nom, pseudonyme opportun
E   st arrivé le prof à la plume acérée.
A   près le buzz, la polémique immodérée,
U   ne lettre a semé le doute. Ouh ! vil CORBEAU ! 

La force des mots

Prisonnier de l’amour, le poète n’a plus
Que son cœur pour inscrire aux parois de sa chambre
Des vers de désespoir au début de septembre,
Lorsque du ciel en pleurs les rêves sont exclus. 

Pour survivre au désir de sauter dans le vide,
Il n’est d’autre moyen pour un adolescent
Que chanter sa colère, écrire avec son sang
Et refuser le gris de ce monde impavide. 

Révolté contre l’ordre un homme est enfermé
Avec les criminels au fond d’une cellule,
Et pour fuir ce cloaque où le vice pullule,
Il grave de son ongle un poème rimé. 

Mais vois, mon tendre amour, moi si je prends la plume,
C’est pour donner aux mots que j’invente pour toi
Le goût de l’inédit, la forme de l’émoi,
La douceur d’un bouquet qu’une rose parfume.

(Extrait du recueil « Hallucinations » publié en 2000)

Quelques mots oubliés…

Depuis la création du blog, certains adhérents m’envoient leurs poèmes dans un mail comme on jette un os à un chien, sans bonjour, s’il te plaît et merci.
Je suis l’heureuse administratrice de ce blog que j’ai créé, pas la pauvre boniche des adhérents de la SPAF !
Les habitués des forums savent que les formules de politesse sont incontournables pour être publié. J’aimerais également en faire une règle sur notre blog.
D’avance merci pour votre compréhension.

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