Archive pour la Catégorie '*23 – la vie'

La vie

Pour le thème de la Vie, j’ai le plaisir de vous proposer quelques photos du grandissime photographe brésilien Sebastiao Salgado, que j’ai pu rencontrer samedi 28 avril dans le cadre de l’Eté du Livre à Metz. Désolé pour les reflets sur les vitres des photos. Et une photo de l’artiste Salgado, qui a lancé un énorme programme de replantations d’arbres au Brésil.
Armand Bemer

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L’enfant du printemps

A l’aurore de tes jours, je t’ai donné la vie.

Pour l’éveil de ton cœur, j’ai versé mon sang

A l’aube de ce sourire, j’ai posé chaque nuit

Un peu de moi, pour te voir naître mon enfant.

 

Ecoute  ma  mélodie, le chant de ma passion

Entends ma voix, mon amour qui te murmure.

Ecoute sa symphonie, mon tout petit garçon

Elle t’endort au clair de ce mois de mai si pur.

 

Laisse mes bras, te bercer dans ton sommeil

Mon bonheur, est au fond de ton visage.

Mon regard brille sur le tien, comme un soleil

Mon ange, aux doux reflets de mon image.

 

Mon fils  ma raison, mon cadeau du printemps

Si heureuse de t’adorer,  t’envahir de mon amour.

Mes larmes coulent, si puissant  mon sentiment

Pour toi l’enfant, qui comble d’infinis mes jours.

 

Laisse mes, pas te guider jusqu’à cet homme

Dépose un peu de ta vie au fond de mes années.

Laisse ma main, tenir la tienne jusqu’à cet homme.

Dépose un peu de toi au cœur de ma fierté.

 

Au creux de mon sein, tu as déposé un Paradis

A la source de ton sourire, j’ai soufflé chaque nuit

Un peu de ma vie, pour t’offrir la tienne mon enfant.

 

Une maman à son fils.

 L'enfant du printemps dans * WEBER Elisabeth Vie-3-Weber

 


                                           

 

 

 

 

 

 

La vie

Posé sur une branche, le merle sifflote

Cigogne, son amie, berce un nouvel enfant

La chandelle à son chevet va, vibre et tremblote.

Et l’aube voit le jour par un soleil brillant.

 

La vie  se régale de splendides campagnes,

De sublimes contrées, d’oiseaux un brin moqueurs,

Et de plaines bien sages et de hautes montagnes

Parfumées, tour à tour, de délicieuses fleurs.

 

C’est  le mariage des sens : de l’eau, de l’air, du feu.

Mets du vent dans les voiles, vole la vallée !

C’est la vie, c’est la mort, et c’est un peu des deux.

C’est la faune et la flore qui voguent feu follet.

 

C’est la mort qui rode en cape grise et noire,

Enrubannée de larmes et de cris souffreteux,

Affublée de fléaux et de tristes histoires

Qui épinglent les maux et rendent malheureux

 

C’est la vie qui chaloupe et va tanguer encore,

Emportant dans ses sacs le bon et le mauvais.

Une vie opposée dans chacun de ses ports

Où gazouille l’amour comme un tendre collier.

Espoir et vie

Pour que naisse l’espoir, il faut avant la vie
A l’exemple de Mai venant après Avril
Où quiconque ne doit se découvrir d’un fil
Pour faire au mois suivant ce qu’il a très envie !

Ce quatrain explique à qui voudra bien me croire qu’il me fallut attendre le thème de Mai pour écrire celui d’Avril… réchauffement climatique oblige !
Pascal Lefèvre




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