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Exposition Robert Doisneau

Ami-e-s de la SPAF,

 

Je vous recommande de découvrir l’expo consacrée au photographe Robert Doisneau actuellement au château de Marlbrough à Manderen, Moselle, jusque fin août.

 

Plusieurs raisons:

- pour ceux qui aiment la photo noir et blanc

- pour ceux qui aiment Doisneau

- pour ceux qui aiment la sidérurgie lorraine (beaux reportages sur les habitants et les mineurs – pour toi Gérard Dalstein !)

- pour découvrir le château en son nid d’aigle et son cadre enchanteur (comme on dit)

- et vous ferez un saut à Schengen qui est à deux pas : c’est le pays des Trois Frontières, vers le vignoble au bord de la Moselle

- en bref, pour ceux qui cherchent un but de sortie d’une journée et qui ne trouvent pas de charme à la Lorraine.

 

Photo clin d’oeil de Doisneau pour les Artistes de la SPAF (photos autorisées sans flash).

 

Armand

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La grande plage du Pouldu

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Le silence des églises

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Concours annuel de poésie

SOCIETE DES POETES ET ARTISTES DE FRANCE (SPAF)

Délégation Midi-Pyrénées

                                                     Concours annuel de Poésie 2011 

                                  (Ouvert du 1er décembre 2010 au 15 mai 2011)

(Pour obtenir le règlement, cliquer sur ce lien :
Concours annuel de poésie dans Avis de concours doc concours2011.doc )

Le Pouldu (pastel sec)

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Les mongolfières

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Meknès (huile sur toile – d’après un tableau de Delacroix)

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Les caravelles

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Le lac des corbeaux (huile sur toile)

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L’appartement de Paul Verlaine racheté

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Le souffle du vent

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Concours SPAF Bretagne 2011

Chers amis de la poésie et des arts,  

Chers membres de la Délégation Benelux, 

  

Vous trouverez en pièce jointe le règlement du Concours 2011 de la Délégation Bretagne-Anjou-Touraine, organisé 

par Monsieur Michel Léon, délégué et vice-président de la SPAF. 

Je vous en souhaite bonne réception et beaux succès ! 

Veuillez diffuser ces informations autour de vous. Par avance merci. 

  

Roseline Gilles-Renier 
Déléguée générale pour le Benelux de la SPAF

(pour obtenir le règlement, cliquer sur le lien Concours SPAF Bretagne 2011 dans Ami(e)s SPAF d'autres régions doc spafconcoursbretagne2011.doc )

7/ L’acrostiche (par Gérard Dalstein)

Parmi les poèmes à forme fixe, il en est un qui possède un certain pouvoir ludique, non qu’il soit forcément facile à négocier, mais en tous cas plaisant à composer. Il s’agit de l’acrostiche, considéré par un certain nombre de spécialistes comme une forme « fantaisiste », ce qui ne lui enlève rien de son charme poétique. Personnellement, je le conseillerais volontiers pour se faire la main, ou prendre un petit plaisir d’écriture, en tous lieux et à tout âge ! 

La forme de l’acrostiche, qui remonte à l’Antiquité, oblige l’auteur à reprendre le titre de son poème (ou parfois son nom ou le nom celui auquel il le dédicace) verticalement en faisant commencer chaque vers par chacune des lettres de ce titre (ou de ce nom). 

Il s’en suit une présentation sans strophe, la structure du titre (ou du nom) choisi donnant celle de l’ordonnancement des vers. 

De ce fait, cette forme s’écrit le plus souvent en rimes alternées de type ABAB.

(Pour découvrir la suite, cliquer sur ce lien : 7/ L'acrostiche (par Gérard Dalstein) dans * DALSTEIN Gérard doc dalsteinacrostiche.doc ) 

Les sonnets de Shakespeare de Pascal Lefèvre

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Bonjour à tous…
 Comme je l’avais indiqué dans nos échanges sur les sonnets de Shakespeare, je me suis attelé à respecter scrupuleusement les règles du sonnet classique et voilà, j’ai terminé le challenge en reprenant les 154 sonnets de mon livre ‘Les sonnets de Shakespeare » dont vous pouvez lire les 15 premières pages (sur 316) en suivant le lien suivant sur le site de TheBookEdition.com à partir duquel il est possible de se procurer le livre par paiement sécurisé, soit papier soit en pdf. 

 http://www.thebookedition.com/les-sonnets-de-shakespeare-nlle-trad-pascal-lefevre-w-shakespeare-f-v-hug-p-57736.html On peut aussi y accéder par mon site http://versificulpture.free.fr  

Bien amicalement Pascal 

Le rucher

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Mas

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Juxtaposition du dessin de Jean Morette et celui de Gérard Dalstein

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Avioth

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Un petit chemin fiorestier dans les envirions d’Avioth (Meuse. Frontière belge)’ dessin à la plume d’après nature.
Toutefois, pour ce dessin, je n’ai pas résisté à redessiner et à intégrer un des éléments d’une oeuvre de celui que je considère comme notre grand dessinateur lorrain (et le génie de son trait dépasse bien sa notoriété lorraine), qui fait partie de mes maîtres en la matière. Il nous a hélas quitté il y a quelques années…
De qui s’agit-il ?  Question subsidiaire pour éventuel partage : de quelle oeuvre s’agit t-il  (ou seulement le titre de l’ouvrage dans lequel elle figure)

A la première personne qui répond à cette question sur un commentaire du blog, je m’engage à offrir une oeuvre originale (que je créerai pour la circonstance) à la plume sur papier C à grain, lors de la prochaine remise des prix des poètes lorrains. En fonction de la sensibilité de la personne, on pourra voir le thème à aborder…Bonne chance.

Gérard Dalstein

L’arrosoir

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La poule

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Je vois

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Le Xa en hiver

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Confitures (huile)

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A la manade

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Le prince bonheur

Il y a bien longtemps, au fond d’une clairière, parmi les mille chants des oiseaux, et les folles farandoles des fleurs multicolores, vivait une jeune fille si belle, que le soleil, tardait à se coucher, la nuit venue. Elle avait de longs cheveux noirs scintillants d’éclats et des yeux d’un bleu tel que le ciel en était jaloux. Elle habitait, une vieille chaumière, délabrée où la pluie, se plaisait à entrer, les jours de tempêtes. 

Ces seuls amis étaient, les animaux de la forêt qui l’aimaient tendrement, émerveillés et plein d’amour pour elle. Mais la pauvre enfant, était bien malheureuse et au fond de son petit cœur, un grand chagrin l’envahissait. Nul ne la connaissait, elle était seule .Tout le jour, elle chantait longeant les vieux chemins et les clairières embaumées de fraîcheur. Sa voix était d’une telle douceur que chacun se taisait, écoutant en silence, ces  chants. 

 Hors, un soir, que la jeune  Annabelle s’était attardée dans le vieux verger,  surgit devant elle un grand chevreuil roux.

(pour lire la suite : Le prince bonheur dans * WEBER Elisabeth doc weberleprincebonheur.doc )

Invitation de Noëlle LAURENT

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Coquetterie au Carnaval vénitien de Verdun

Timidement rouge garance
Sous l’ombrelle coquelicot
Venise affiche une élégance
A faire taire un flamenco ;

Le masque noir brodé malice
Promène un fier anonymat
Joli brocart la robe glisse
Sur l’ombre de son cinéma.

Coiffe chargée, danse la plume,
Narguant le passant fasciné
Par les volutes du costume
Mi-tournoyant là sous son nez.

Courbe, coquet le personnage,
En adieu, son éventail ;
Le carnaval en essaimage
Retourne à son secret  sérail.

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Hardipetiote Du Mors aux Dents

Au début de la campagne de chasse 1993-1994, ils n’étaient que quatre teckels à poil long  à l’élevage « Du Mors aux Dents » : Farandole, Furibonde, Hélice et Hardipetiote, la plus jeune….
J’aimais bien cette dernière pour plusieurs motifs…. Tout d’abord, les conditions de sa naissance : ce fut le seul chiot de la portée et il fallut deux heures d’une mise-bas difficile, par le siège, pour qu’elle advienne à la vie…. A l’âge d’un an, elle était devenue une jolie chienne, d’un rouge pur, homozygote pour la robe c’était sûr…. J’avais fait 3000kms aller-retour pour faire saillir sa mère au fin fond de l’Allemagne de l’Est avec un mâle dont tous les ascendants réunissaient les principales qualités de beauté et de travail…. Hardipetiote avait une très belle tête, belle encolure, un dos extra, des aplombs impeccables et une « pêche » d’enfer….. De plus, elle avait cette manière rare de sourire de certains teckels, tout particulièrement de ceux de mon élevage ; pour manifester sa bonne humeur elle venait vers vous en remuant de la queue et du croupion et retroussait le chanfrein et les babines dans un magnifique sourire laissant apparaitre une double rangée de crocs étincelants et bien plantés…. 

Tout sa mère et sa grand-mère….
Deux ou trois entrainements au terrier sur renards, j’étais à l’époque maitre d’équipage de vénerie sous terre, l’avait particulièrement intéressée et elle venait tout juste, en ce mois de décembre 1993 de se déclarer sur le chevreuil en une magnifique menée à voix, sans voir l’animal de chasse…. Quel plaisir d’entendre sa voix stridente au milieu de l’enceinte…. Quand les origines sont là, les aptitudes naturelles sont présentes, pourvu qu’on les maintiennent, et c’est là tout le travail et le talent de l’éleveur…. 
La semaine suivante, un des rares dimanches où je ne chassais pas au bois, j’emmenais Hardipetiote et sa mère faire un tour en plaine aux alentours de chez moi…. J’arrêtais le 4×4 sur un chemin de terre, pris le 12 et découplais les chiens…  Les deux chiennes partirent aussitôt, nez au vent, de toute la vitesse de leurs pattes et de leurs dos, dans la direction opposée à celle où j’escomptais me diriger…. Le vent, malgré tout léger, était en sens contraire et je n’avais pas eu le temps de m’en rendre compte…. Je sortis ma trompe de battue et sonnais l’appel des chiens…. Furibonde, habituée, rompit aussitôt et reprit son pied, mais Hardipetiote, jeune et fougueuse, continua sur sa lancée…. La route départementale était loin, plus d’un kilomètre, mais déjà je ne voyais plus la chienne en plaine et m’inquiétais…. Ni une ni deux, je jetais Furibonde et le 12 dans le coffre, sautais dans le 4×4 et m’élançais à la poursuite de mon chien…. Lorsque j’arrivais à la route départementale, 2 minutes après, il était trop tard…. Hardipetiote gisait au milieu du macadam…. Pas une goutte de sang, pas une trace, pas une blessure mais elle avait cessé de vivre…. Un voiture roulant à grande vitesse l’avait « tapée »….
Je ne ferai pas de commentaire, ceux qui ont connu des moments analogues comprennent….
Je l’ai enterrée dans le jardin, auprès de sa grand-mère qui nous avait quittés l’année précédente à l’âge de 17 ans….
Voilà, c’était quelques lignes en souvenir de « Hardipetiote du Mors aux Dents », petite teckel à poil long d’un peu plus d’un an, de grandes origines, pleine de promesses et trop vite partie….
Quant aux occupants de la voiture qui n’ont pas daigné s’arrêter après avoir écrasé un chien portant collier et clochette, je leur dédie ces trois petits vers de Georges Brassens, mon maitre à chanter :
« Que leur auto
« Bute presto
« Dans un poteau »….
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Les masques vénitiens (huile sur toile)

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Triolet

Tombe la triste pluie d’Automne 

Sur les champs rouges endormis. 

Je suis mouillé et je frissonne, 

Tombe la triste pluie d’Automne. 

Ce soir une amie m’abandonne, 

J’en meurs car je n’ai plus d’amis, 

Tombe la triste pluie d’Automne 

Sur les champs rouges endormis.

Jean-Pierre RECOUVREUR Grand Prix des Poètes Lorrains 1979 recouvreur.jpg

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