Vermillon,
pourpre,
incarnat,
cerise,
groseille,
fraise,
fruits rouges au jardin,
magenta,
carmin,
garance,
l’éclat vivant,sanguine dessinant un coquelicot,
bleu pétrole,
turquoise,
indigo,
pervenche,
outre-mer,
marine,
gréement et partance,
bleu horizon,
un regard posé sur l’envergure d’ailleurs,
cyan,
la canopée de la forêt touchant le ciel,la couleur mélangée,
vert émeraude,
la pierre chlorophylle,
vert bouteille,
pistache,
vert pomme,
la couleur à croquer,
fuchsia,
rose rose,
tendresse,douceur,
rose bonbon,
friandises,
prune,
violet,
violine,
lilas,
le printemps fleur et le passage d’une hirondelle,
jaune poussin,
citron,
bouton d’or,
jonquille,
paille,
le champ après la moisson,un canotier en plein été,
la couleur c’est soleil comme la couleur c’est cadeau,
orange,
vitamine étincelle de l’énergie,
rouille,
roux,
automne sur un tapis de feuilles,
kaki,
marron,
noisette,
corbeille et nature morte,
ivoire,
la tour,
gris souris,
grège,
beige,
sable,
la couleur perdue dans l’immensité,
ocre,
terre de Sienne,
la couleur où semer,
arc-en-ciel,
polychromie,l’arche du retour au beau temps
allégresse absorbé par les yeux,
la vérité sans fard,les atmosphères,les tableaux,
camaieux,nuances,tons,chatoiements,pastels,accroches
sans blanc de la pensée,sans trou noir…
Couleurs…
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- > Recherche : fleur coquelicot
Résultat pour la recherche 'fleur coquelicot'
U ne source a jailli, venue des profondeurs,
N ul ne pourra ravir ce jardin intérieur.
J ’ai bu une goutte d’eau,
A la source du courage,
R ien qu’une goutte sage,
D ouce comme un cadeau,
I ndicible message,
N ouvel apprentissage.
I ntarissable et beau,
N ouveau, ce doux cépage,
T rouvé dans cette image,
E mpreint d’une telle douceur.
R enferme cette erreur,
I l suffit d’un passage
E t sur l’autre rivage,
U nique, au bord de l’eau
R éapparaît une fleur.
Telle la frêle fripure écarlate
des champs de fragiles coquelicots,
le fouillis des lingeries délicates
frissonnant aux lisières de ta peau
ravit mon regard qui toujours s’épate
de tant de trésors en tes calicots.
Telle la corolle de l’orchidée
cachant en son mystérieux écrin
les doux secrets de sa féminité,
tes tendres pétales qui sous ma main,
d’abord bien clos et tout intimidés,
s’écarquillent soudain…jusqu’au matin.
Tels les mauves ergots du chèvrefeuille
dardés dans les broussailles violines,
ma vibrante impatience que tu cueilles
et que tes doigts si savamment câlinent,
tandis que nous allons voir si la feuille,
à l’envers, est toujours aussi coquine…