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Archive journalière du 30 sept 2013

Le Congrès national de la SPAF

Les Lorrains furent dignement représentés. En effet, Jean-Jacques CHIRON fut récompensé et Claudine GEORGE et moi-même avons été reconduites à l’unanimité à nos charges de membres du Conseil d’Administration.

Le Congrès national de la SPAF dans Congrès p1100174

Pour ce qui concerne la remise des prix, Madame RAFFARIN Adjointe au Maire, a remis la plupart des prix et Jean-Pierre RAFFARIN est venu remettre les plus importants.

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La remise des prix eut lieu salle de la Quintaine et le repas officiel au retaurant :  » Le Château de la Ribaudière ».

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Le Conseil d’Administration a élu Michel LEON (au centre ci-dessous) nouveau président de la SPAF. Il prendra ses fonctions lors du Congrès 2014 à St MALO.
A l’issue de la remise des prix, quelques membres du Conseil l’ont pris à part et il lui fut remis (petit compliment en sus) un superbe collier constitué d’un camenbert  » PRESIDENT  » comportant duement le fromage (bien fait un peu coulant même) pour bien lui signifier ce que nous attendions de lui à l’avenir…C’est ce qui explique les mines réjouies qui l’entourent ! Le bâteau, sur le sac qu’il tient à la main, contenait le cadeau et était un clin d’œil à sa vocation de marin.

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(commentaires transmis par Joëlle di Sangro)

Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :

Congrès de la SPAF 2013 (Poitou)
Album : Congrès de la SPAF 2013 (Poitou)

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Article paru dans le Républicain Lorrain

Article paru dans le Républicain Lorrain dans Coupures de presse rl-cultura1

Etoiles filantes

Et dans le silence bleu là-haut du firmament,
Comme une couleur plus haute, comme une gorge de ciel,
M’apparaissait un gouffre où mon œil, l’attendant,
Je vis soudain briller un filament de miel.

Pétillant, étincelant, comme un collier cassé,
Etiré, en suspens et qui se désagrège
Dont on aurait ôté les perlettes’ dorées
En un clin d’œil pressé, un vif tour de manège.

Là entre les étoiles accrochant mon délire,
Il avait emporté dans son fil de dentelles
En plus de ma part d’ombre, un élan d’avenir
Et tiré de mon être un arbre de Noël.

Je sentais son étoile que je n’avais pas vue
En retard au miroir de mon iris briller
Car une gosse pluie de fleurs au cœur jaune, apparue,
Pulsa dans le pollen qu’elle laissait rayonner.

Et ce morceau infime de lumière a tout mis
-De ce qui n’a de prix, de ce qui vit plus fort,
De ce qui nous déborde dans un rai si petit-
Dans la boîte trop réduite que je suis pour son corps.

C’est le fil d’un réseau immense et infini
Où je voulu me pendre une seconde, une fraction
Mais l’histoire a eu lieu à tant d’années d’ici,
Dix mille Moi n’étaient nés, il est cassé le pont.

Reste la persistance de ces feux d’artifice
Dans le tableau vivant comme un rêve à la craie,
Une caresse allumée sur notre précipice,
Ou une larme élastique sur une heure qui se tait.




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