L’amène citadin, fidèle astéroïde,
Fête une jeune étoile au charme oriental,
Suivant son char fleuri, mobile piédestal,
Vers l’antre où se déguste un prodige fluide.
Emu par un alcool subtilement fruité,
J’admire cette ville à l’humeur débonnaire ;
Ce flux, pour mieux ouvrir l’huis sur l’imaginaire,
Active mon regard d’une étrange acuité :
L’antique agglomérat, nébuleuse messine,
Exalte ses atours en un songe soyeux ;
Tel un monde paisible éblouissant mes yeux,
Près de l’urbaine frange un royaume fascine :
Doux essaims flavescents, d’innombrables soleils,
Fruits que l’Ame lorraine avec tant d’amour glane,
Se mirent dès le soir dans l’onde mosellane
Sous un tulle abyssal ourlé de cils vermeils !
un plaisir à lire
merci
c’est trop !c’est trop beau !
mais où vas tu chercher tout cela ?? dans un verre de mirabelles , je vais en boire si ensuite j’écris des vers comme toi!! allons-y!!
amicalement
katy
Merci Marie-France et Katy.
Il faut dire à ce moment j’avais le délirium très gros
et non très mince.
hihi!
le coma est-il hic ?
On ne se lasse pas du professeur Chiron….
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