C’est un leurre de croire « Le bonheur vient d’ailleurs »
Il vient de soi.
Quand il est là
On retrouve l’enfant d’avant tous les tracas.
Et on le sent qui vibre au plus profond de soi
Tout simplement,
Donne le la,
Ne demande que ça, et fait ses premiers pas.
Libéré du carcan des idéaux troublants
Qui nous minent.
Oui mais comment ?
Nous font penser à tort qu’aimer est le plus fort.
Et s’oublier encore…
Une façon toute moderne de composer un poème. Cette prose a sa beauté car elle veut dire que l’amour envers les autre est plus fort que l’amour pour soi.
C’est une prose qui rime et l’on aimerait bien qu’elle soit un peu plus longue.
Merci mais l’amour pour soi est aussi fort
C’ est un poème qui fait réflexion sur le sujet. Tu as raison Marie-France.