Notre Directeur, Abraham Vincent VIGILANT, ouvre ce numéro par un éditorial évoquant le divorce de la Science et de l’Art, mariés depuis la nuit des temps.
Le matérialisme outrancier a écarté l’épanouissement de l’homme, chassant la Poésie, autrefois rompue au charme mais aujourd’hui charme rompu….
Dans cette revue, des poèmes inédits émanent de nos régions françaises ainsi que de nos voisins francophones en passant, comme il se doit, par la Lorraine.
Nathalie JOFA lève les yeux au ciel d’où tombe une cataracte de vers orageux qui se reflètent dans le jardin secret de Marie-Aimée MOURGUES.
La basilique de VEZELAY sublimée par Guy BRENIAUX rayonne et illumine la vieille mine de Gérard DALSTEIN : celle qui a englouti la trace des hommes mais pas le souvenir dans nos mémoires.
Si Roger MOUSSU était musagète, de la prose un exégète, peut-être qu’Erato ne prendrait pas de râteau !
André CAYON nous emmène en balade à NANCY dans sa ballade « Place Stanislas ».
Parmi les poèmes primés, quelle surprise d’y trouver la gemme d’une célébrité de la chanson, en la personne de Salvatore ADAMO, Grand Prix International de Poésie 2010.Il nous transporte et nous apporte Cet Amour… qui entrouvre le ciel.
Le chapitre des Chroniques aborde les recensions, annonces de parution, animations délégations, informations et un article consacré à Vincent VAN GOGH.
La rubrique « Lu pour vous » referme ce chapitre avec Michel TOYER, Marie-Claude PELLETAN et en point d’orgue Gérard DALSTEIN, témoin de son temps dans « Les Feux d’Eden ».
Aquarelles, huiles et photographies enluminent ces pages glacées…et pourtant si chaudes !
(Recension réalisée par Georges WEYMESKIRCH)