Sur le sable chaud de ce rivage,
Te souviens-tu de notre amitié.
L’écume blanche de cette plage,
Avait posé un souffle de liberté.
Tu venais de ton pays d’orient,
Toi ma belle amie de cet été.
Sur cette plage de l’occident,
Ce beau souvenir tu m’as laissé.
J’entends encore l’écho d’un rire
Toi qui m’as peut-être oublié.
J’avais gravé dans mon avenir,
Ton prénom que l’océan a effacé
Nos pas aux lueurs de la saison,
Dans ce clair soleil épanouissant
Nous avions couru dans le vent
Au cœur des vagues déferlantes.
Nos jeux nos rires au cœur de l’été,
Mon pays le tien peint sur une toile.
Nos mains enlacées dans l’unité,
Avant que ne t’emporte une voile.
Une larme a coulé de mes yeux,
Sur un baiser au revoir ou adieu.
Un vent léger gonflait tes cheveux,
Sur ton visage ce sourire délicieux.
Océan d’azur qui nous a séparés,
Pour ton pays au cœur d’une île.
Près du phare au bout de ce quai,
Que de paquebots partent et filent.
Sur le sable blanc de ce rivage
Te souviens-tu de notre amitié
L’écume blanche de cette plage,
Avait posé ce bel été de liberté.
Agréable cet air de vacances
Elisabeth, ce beau poème mérite d’être plus travaillé pour
qu’il soit plus musicale et renforce la nostalgie.
Elisabeth, ce beau poème mérite d’être plus travaillé pour
qu’il soit plus musical afin de renforcer la nostalgie
qui en ressort.
Merci beaucoup Jean-Jacques c’est un poème ancien
J’avais 17 ans cette année là.
L’année de mon premier amour et premier chagrin.
Et encore de la nostalgie.
Merci Marie France
c’est toujours avec beaucoup de plaisir que je reçois
les commentaires, ravie que mon texte inspire un air de Vacances
Oui, malgré la mélancolie qui s’en dégage
Oui, celle des amours d’été
ce poème m’a transporté sur les rives des amours de vacances où beaucoup de monde se laisse bercer par les vagues de passion…