Sur le sable chaud de ce rivage,
Te souviens-tu de notre amitié.
L’écume blanche de cette plage,
Avait posé un souffle de liberté.
Tu venais de ton pays d’orient,
Toi ma belle amie de cet été.
Sur cette plage de l’occident,
Ce beau souvenir tu m’as laissé.
J’entends encore l’écho d’un rire
Toi qui m’as peut-être oublié.
J’avais gravé dans mon avenir,
Ton prénom que l’océan a effacé
Nos pas aux lueurs de la saison,
Dans ce clair soleil épanouissant
Nous avions couru dans le vent
Au cœur des vagues déferlantes.
Nos jeux nos rires au cœur de l’été,
Mon pays le tien peint sur une toile.
Nos mains enlacées dans l’unité,
Avant que ne t’emporte une voile.
Une larme a coulé de mes yeux,
Sur un baiser au revoir ou adieu.
Un vent léger gonflait tes cheveux,
Sur ton visage ce sourire délicieux.
Océan d’azur qui nous a séparés,
Pour ton pays au cœur d’une île.
Près du phare au bout de ce quai,
Que de paquebots partent et filent.
Sur le sable blanc de ce rivage
Te souviens-tu de notre amitié
L’écume blanche de cette plage,
Avait posé ce bel été de liberté.