Bonjour, monsieur du mensonge
Bonjour, dame la vérité
Vous étiez, afférer à vos songes
Oui, je méditais, l’art de tromper.
Votre travail n’est pas des plus plaisant
Pousser ainsi, les gens à mentir
Je préfère de loin, ma profession
Nul de mon parti, ne sait mentir.
Je n’approuve pas, votre besogne
Vous, la femme de vérité
Vos exploits, ne sont pas sans remords
Alors que moi, j’enfouis la vérité
Je sais mépriser, le méchant
Et donner tort, à ses ouvrages
Alors que vous, mensonge sans nom
Vous lui crier, victoire au visage.
Vérité, pour qui vous prenez-vous
Vous qui portez, la clé des prisons
Vous ne savez, qu’enfermer le loup
Alors que moi, je le déclare innocent.
Mensonge, ridicule effort
Ne vous, surestimez donc pas tant
Par vos exploits, bien des gens sont morts
Vous n’êtes, que l’ombre d’un instant.
Tout ce que vous dites, n’est pas compris
Dame vérité, je vous le dis
A me prendre, ainsi pour l’ennemi
Vous aurez, un jour des ennuis.
Je ne tiens compte, de vos propos
Je n’ai point peur, de vos affronts
Vous n’êtes, pas digne de mes mots
Alors retournez à votre passion.
Adieu, monsieur du mensonge
Adieu, femme la vérité
Je préfère, croire à mes songes
Et méditer l’art de vous tromper.