Bon vent vers l’autre rive au pays de l’accueil,
Où l’étranger n’est pas une brebis galeuse,
Nourrie du droit du sol de façon scandaleuse,
Ni ce bouc émissaire auteur de nos écueils.
Et ce pays perdu pourrait s’appeler France.
Appelons de nos vœux la cité de l’humain,
Nouvel havre de paix et de saine confiance,
Nouvelle ère d’échange en culture et croyances,
En cultivant l’espoir de meilleurs lendemains.
Et ce pays rêvé mérite son nom : France …
0 Réponses à “Bonne année”