c’est comme une cascade et opaque et magique
résonance d’opale éclaircie d’ambroisie
elle tombe et caresse un berceau onirique –
à moi ! – serti de lin enveloppé d’aiguilles
il écoute un murmure ordonner un silence
aux refrains des coquelicots lorsque s’égouttent
cheveux après cheveux ses baisers sous la voûte
le décor s’étire et la cascade s’élance
o rafting des saveur plus douce des noyades
que d’années à ramer sur d’asséchés ruisseaux
avant de te trouver rougeoyante cascade
il vole à tes filets leurs magies et leurs eaux
et embrasse ton air où s’embrase ton or
et Onirie sourit à celui qui s’endort