Je rêve à hier et à nous demain
Dans le vent qui souffle, je suis oiseau
Je fais des escapades quand pointe le matin
Le temps s’écoule tandis que muse mon cerveau
Dans les cieux constellés je m’égare
Dans le vague, dans les vagues nagent mes yeux
Je rêve dans le silence comme je rêve au hasard
Comme je pense, je rêve. Quand je rêve, c’est mieux
Des voix s’emmêlent, je ne les entends plus
Loin de vous, cherchant des mots harmonieux
Je rêve à tout, à rien devant un décor nu
Au soleil ou pendant les longs dimanches pluvieux
Parce que je respire, je rêve à la vie,
A la camarde ou à l’éternité
Jusque aux larmes je rêve les jours d’ennui
J’habite seule un monde toujours réinventé
A vous frères de cœur, je rêve
Vous êtes loin, vous me manquez tellement
J’ai des rêves en suspens, jamais ils ne s’achèvent
Dans mon jardin secret je viens m’asseoir souvent.
Nathalie,
j’imagine bien le jardin secret, la chaise de jardin
et les rêves à y dépendre…
c’est très imagé
J’aime bien