Tu ondules et serpentes
Oh chat, tu fais le guet
A cent mètres il arpente
De tes yeux l’épier.
Tu suis ses mouvements
Pas un seul ne t’échappe
Tu attends finement
Le moment de la frappe
Surgis de ton fourré
L’alpague et le relâche
Liberté surveillée
Tu joues et le recrache
De ses débats blessés
Il titube affaibli
Jusqu’à ton mot dernier
L’assaut tu reconduis
Le lapin désormais
Git au seuil du logis
Que tu as décidé.
oups, pardon pour les fautes 3ème strophe les S à la fin des verbes (alpagues, relaches, recraches) j’ai été trop vite…
Bonjour Marie-France,
Est-ce qu’il ne manque pas un vers ( le troisième ?) dans le dernier quatrain (si c’est un quatrain ) ?
J’avoue que ma compréhension est un peu « boiteuse ».
Il est vrai que, lorsque je saisis des commentaires sur le blog, j’ai tendance à travailler vite car j’ai toujours peur que la connexion ne soit coupée. Donc, dans l’urgence, on ne prend pas le temps de se relire. Or, comme disaient mes vieux profs, … (!!!)
Belle année à toi
Merci, à toi aussi Armand, ainsi qu’à tes proches.
Non, en fait c’est fait exprès…pour une fin abrupte
je sais que ça ne se fait pas trop, mais bon…