C’était toujours en fin d’après-midi,
Alors le soleil devenait supportable,
Ou bien tôt le matin
Quand la rosée buvait le trèfle
Et la fraîcheur incrustait encore l’air :
Nous allions faucher la luzerne
Sélectionner un carré d’herbe
Qui tomberait doucement sous la
Dans le crissement de sa tige creuse
Balayée lentement par l’outil
Dans un demi-cercle voulu parfait.
Chaque aller-retour était un défi :
Ne pas accrocher la terre
Ne pas planter la
Faire que le nouveau mouvement
Soit plus souple que le précédent
Conjuguer la cadence et l’aisance
Avec le même souci de l’élégance.
il y a faux et usage de faux là
Il y aussi et surtout faux et absence de…
Il manque deux fois le mot faux en fin de phrase : c’est pas juste ! Faut ce qu’il faux, non ?
Vous aviez rectifié, bien sûr: faux pas prendre les lecteurs du blog pour…
Amitiés
Euh… le fichier word transmis était ainsi… Je suppose que l’effet était voulu ?…
Dernière publication sur ECRIVAIN PUBLIC, ZAZ ET PLUS : L'adieu au blog
Ben oui quoi, Armand!…. Faux s’relire aussi!!!….
Dernière publication sur Photos, Reportages, Chansons, Venise : PREMIERS ESSAIS DE MA FOCALE FIXE 35 mm ouverture 1.4
Oui moi aussi je croyais que c’était voulu.
Bon, j’vais voir ski faux fer… si j’peux trouver une enclume pour en forger une ou deux !
Faut pas nous couper l’herbe sous les pieds! En vérité, méfiez vous de l’usage de faux…
Mieux vaut faux tôt que jamais (parole de fotografe en retard)!
Bien vu