Mille paillettes d’or parsemées sur la toile
Découvrent, par endroits, l’ardoise de la nuit.
Sous la voûte céleste, enluminée d’étoiles,
Notre planète dort, tendrement alanguie.
Lucarnes de l’espoir, lorsque je vous contemple,
Je sais que, quelque part, un être me sourit,
Un Petit Prince errant dont le cœur, il me semble,
En quête d’infini, recherche son amie.
Dans l’ordonnancement si beau de l’univers,
Ces tâches de couleurs - doux rires enfantins -
En poussières de l’or, fertilisent ma terre,
Pour que puisse fleurir une rose au jardin.
« mille paillettes d’or parsemées sur la toile « .. c’est beau ça me parle!
» lucarnes de l’espoir »…
tout cela est dit avec tant de tendresse
BRAVO Nicole c’est bien joli
katy
Un poème doux, frais, lumineux et charmant!
(Le découvrant, je me disais:
-Il n’y manque que la rose…)
Et elle exhale son parfum au dernier vers!
Nicole, on te retrouve toute entière en ce poème!
Vous campez joliment le décor avant d’y placer le petit prince (titre du poème)
j’aime bien