Je me glisse sous les draps
Ma fatigue glisse en moi
Je glisse un » Bonsoir «
à l’oreille du marchand de sable
Je glisse dans le sommeil
Je rencontre Morphée
Je ne glisse plus…
La nuit glisse avec le temps…
Je rêve…
Je me glisse sous les draps
Ma fatigue glisse en moi
Je glisse un » Bonsoir «
à l’oreille du marchand de sable
Je glisse dans le sommeil
Je rencontre Morphée
Je ne glisse plus…
La nuit glisse avec le temps…
Je rêve…
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J’aime. Un poème qui se passe de constructions savantes pour émouvoir et qui, ainsi, glisse comme une eau légère dans l’âme.
La poésie libre n’est pas la « petite soeur » de la poésie classique. Elle est soeur de même beauté…
Geraldine
Attention Géraldine,
Terrain glissant!…
Ne savonnons pas l’entente sur le blog en évoquant la parenté des poésies classiques et autres…
La poésie se révèle par ce qu’elle dépose dans le coeur de celui ou celle qui la découvre.
C’est là sa mission qui trouve ici son aboutissement puisque ce texte vous a touchée et c’est heureux.
Je crois que la Poésie et une question d’ingrédients
et qu’il faut savoir cuisiner.Il faut aussi trouver son univers et le mien est la poésie de la vie…tout heureux
qu’on le récompense par un commentaire.
Merci Géraldine
Bien loin de moi une quelconque intention de discorde, je ne le souhaite vraiment pas. D’ailleurs, je vais dans votre sens, Joelle, à savoir que j’acquiesce à la sensibilité universelle de la Poésie.
Et je suis totalement d’accord avec vous, Alain, le poète crée un univers -le sien- qu’il déploie ensuite en ayant l’art de s’adresser
individuellement à Tous.
Bien cordialement.
Geraldine
J’aime beaucoup l’image du poète créant son univers.
Quand à celle d’ingrédients qu’il faut savoir cuisiner, pourquoi pas…
A quand le » BOCUSE » de la poésie?
Aprés tout, ne dit-on pas quelques fois que les poètes sont un peu toqués?…