Qu’il me paraît lointain, le temps des désaccords,
Lorsque l’adolescente accusait père et mère
D’un constant mal de vivre où l’enfance éphémère
Avait perdu son âme en différents décors.
Dans l’écho de ta voix que l’absence édulcore
Ne me parviennent plus certains propos amers,
Mais des murmures doux comme le vent des mers.
Le temps passe et me ride et mon cœur pleure encore.