Bonjour à tous… Comme je l’avais indiqué dans nos échanges sur les sonnets de Shakespeare, je me suis attelé à respecter scrupuleusement les règles du sonnet classique et voilà, j’ai terminé le challenge en reprenant les 154 sonnets de mon livre ‘Les sonnets de Shakespeare » dont vous pouvez lire les 15 premières pages (sur 316) en suivant le lien suivant sur le site de TheBookEdition.com à partir duquel il est possible de se procurer le livre par paiement sécurisé, soit papier soit en pdf.
http://www.thebookedition.com/les-sonnets-de-shakespeare-nlle-trad-pascal-lefevre-w-shakespeare-f-v-hug-p-57736.html On peut aussi y accéder par mon site http://versificulpture.free.fr
Bien amicalement Pascal
tu as refait 154 sonnets!….
Mais tu es une vraie bête de somme….
Bravo….
oui c’est incroyable! Où vas tu chercher une telle énergie et le temps?
arrives tu encore à dormir ??
moi si je suis des heures dans ma poésie je m’endors avec et je rime avec sommeil, avec oreiller ou nuit……
bravo !
amicalement katy
Chapeau Pascal et encore bravo !
Quand on sait que le sonnet anglais n’est pas le sonnet français, et que l’alexandrin n’existe pas chez les British qui écrivent en versification scandée, (comme en latin) je me dis que tu as relevé un sacré défi !
L’amateur de Shakespeare que je suis en reste baba !
Bonsoir Pascal,
154 sonnets!.Tu bats le record de l’inspiration.Tu as dû avaler des épinards comme Popeye.Mais je blague.
Mes compliments.
Et mes amitiés.
Bonsoir Claudio,
Il suffisait de passer du néo-classique au classique ! C’était plus facile à faire que l’inverse puisque dans ce sens-là il y a des règles qui nous guident…
Je suis allée le télécharger sur le site.
Je suis impressionnée par les premiers lus.
Pascal, une petite dédicace du téléchargement ?
Je ne sais pas comment on va faire…
On verra ça à la prochaine remise des prix ?
Marie France
Merci à toutes et tous pour vos compliments. Mais ce travail ne fut pas si difficile car je suis parti de la traduction en prose de François-Victor Hugo et non ed l’Anglais. Comme la prose n’est pas limitée en longueur, toutes les subtilités du texte de Shakespeare s’y trouvent a priori. En tout cas je lui fais confiance ! C’est le point de départ. Après il s’agit d’un travail de réécriture en alexandrins… ce que j’avais tenté de faire la première fois mais maladroitement car je me suis effectivement rendu compte que ce n’était pas de purs sonnets classiques avec toutes ses règles.
Je me suis donc appliqué à respecter chacune de ces règles, en m’appuyant sur les avis autorisés des uns et des autres. Le dernier étant celui de Jean-Jacques sur les pluriels… Normalement, il ne devrait plus y avoir d’erreurs après au moins cinq relectures ciblées sur chaque règle, comme la non répétition d’un mot, l’alternance des rimes masculines et féminines, la chasse aux hiatus, le respect des diérèses grâce au Littré, les rimes de pluriels et de singuliers…
Bien amicalement
Pascal
Bonsoir cher Pascal,
Ah oui j’ai confondu le nombre des pages de ton livre tout nouvellement présenté sur ton site et je m’en excuse.Je pense qu’en agrandissant ton garage en débordant sur ton jardin tu aurais pu mettre le grand format.Mais la mini Rolls de mister Bean suffira parce que ta femme préfère les légumes de votre jardin pour faire ta soupe.
Sais-tu que les pièces de théâtre de Shakespeare sont trés à la mode en ce moment en Allemagne et en Angleterre et que Shakespeare, lui même, n’a pas pu représenter toutes ses pièces de théâtre de son vivant car elles étaient nombreuses et il est décédé de trop bonne heure, ce poète trés prés de l »histoire de son pays.
Tu pourrais peut-être trouver les traductions françaises de ces pièces et écrire les pièces de théâtre, pour les présenter à l’olympia Parisien?.Qu’est-ce que tu en penses Pascal?.
Nous n’avons pas encore de pétrole mais nous avons des idées.