Après avoir baigné dés l’enfance dans la culture très particulière du Pays-Haut lorrain, fasciné par l’univers des mines et des usines qui avaient transformé les paysages, et par ces hommes qui semblaient tous, de la ménagère à son mari de haut-fourniste ou de mineur en passant par les commerçants et entreprises de toutes natures, travailler de front dans un même mouvement brassant toutes les races, il m’était impossible de me taire alors que je sentais les premiers frémissements qui allaient mettre à terre les mégalopoles du fer et tout un peuple qui y était attaché.
Pour rendre hommage à ces hommes qui m’avaient initié à l’amour, au bonheur, fait toucher la notion de paradis, rien ne me semblait trop beau, et bien entendu, mon goût pour la poésie et le dessin ne pouvait que servir cette cause.
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