Longwy2

Publié le 11 janvier 2011 dans * DALSTEIN Gérard et Dessins-pastels-peintures-etc.. 8 Commentaires

8 Réponses à “Longwy2”

Syndication pour cet article

Joëlle di SANGRO
11 janvier 2011 à 07:59

Somptueux contrastes entre l’or et l’ombre!

On retrouve en cette oeuvre la somptuosité des feux d’Eden.
Marie France Genèvre
11 janvier 2011 à 09:42

très réussis ces jeux de feu, de lumière et de pénombre
j’aime beaucoup
Dalstein
12 janvier 2011 à 08:18

J’allais souvent le soir contempler depuis le « belvédère » l’un des spectacles les plus grandioses que l’on puisse imaginer et qui a marqué ma vie. Et encore ne voit-on sur ce tableau qu’une des deux vallées, celle la Chiers séparée par une autre vallée du feu, à droite, par le bois de Châ.
Aujourd’hui, lorsqu’il m’arrive de passer devant le belvédère,je tourne souvent la tête, et je pense à autre chose…
Dalstein
12 janvier 2011 à 18:59

C’est vrai, Claudio, que j’ai passé un temps non négligeable de ma vie à essayer de rendre hommage aux hommes du fer qui m’ont fait découvrir de BONHEUR. Et pour cela, l’hommage n’est jamais terminé.Et ma vie n’y suffira pas. Il y a les hauts-fourneaux, bien sûr, mais c’est vraiment la partie immergée de l’iceberg, et encore, une petite partie. Il y a la folie des villes sous la terre, des 17000 kilomètres de mines qui ont été tracés sous la Lorraine, il y a les paysage des vallées, il y a les cités, la vie des cités, il y a toute une vie et une culture sociales que tous les « déracinés » venus conquérir le pays pour ne pas crever la faim chez eux ont inventé. J’en ai été le témoin privilégié, au coeur des usines, des cantines, des cités, des maisons…Une histoire unique dans la vie industrieuse et sociale d’un pays, qui ne se répétera jamais, et dont nous avons tous profité durant les fameuses trente glorieuses.S’en souvenir simplement n’apporte pas grabnd chose, peut-être des sentiments de nostalgie qui ne constituent pas des « pierres à bâtir ». le célébrer, c’est autre chose et comme disait Jean-Jaurès dans une formule dont je fais un usage concret
« honorer la mémoire, ça n’est pas vénérer des cendres, mais souffler sur des braises ».
Alors, je souffle, et soufflerai probablement jusqu’à mon dernier souffle !
Katy LOBY
13 janvier 2011 à 11:44

oui c’est très bien fait
la vie jaillit de la lumière , les hommes au labeur…les femmes au foyer, la ville qui vibre avec le travail des hommes qui la peuple.
Sans ce travail, plus de ville, plus de lumière, plus rien..
merci Gérard
katy
Dalstein
13 janvier 2011 à 13:18

J’ai du mal à écrire les commentaires car les caractères sont très petits sur ma bécane. Donc je laisse pas mal de coquilles. Mais ici, au niveau du sens il faut lire partie émergée et non immergée de l’iceberg. Il ne s’agit plus d’un coquille, mais d’une confusion ! C’est plus inquiétant. Je m’en doutais bien qu’on ne pourrait pas travailler avec un bon rendement jusqu’à 77 ans !
CHIRON Jean-Jacques
13 janvier 2011 à 15:48

On pourrait croire que la nuit se prête à sublimer
les forges de Vulcain.
Superbe tableau après la représentation d’Hayange.
Thouvenin Maryline
11 février 2011 à 22:45

J’avais un grand
oncle, qui a habité Longwy, il est décédé en1980.Je n’ai pas eu l’occasin de visiter cette ville. Mais je me rappelle que ma grande tante, me disait que c’était agréable, d’y vivre mais qu’il fallait fermer les fenêtres à cause de la poussière trés noire d’une usine en ville, ou tout prés.Connaissez-vous cette usine monsieur

Dalstein ?. Votre pastel sèche, lumineuse est bien réussie.