Pour la fraîcheur de l’innocence,
Rester dans la non-violence,
Ecrire une lettre à l’existence.
Comprendre ou bien ne pas comprendre,
Intenter un procès pour surprendre,
Enfin quelqu’un qui veuille entendre.
User sa vie dans l’avalanche,
Soutenir une parole franche,
Ecouter un cœur qui s’épanche.
Enfance rime avec insouciance,
Non avec silence et souffrance,
Fermée en une non-assistance.
Arrimer sa vie, voir se tendre,
Nu dans une cruelle absence,
Cet immense regard si tendre,
En cette fragile efflorescence.
Précieuse enfance est bien décrite Patricia.Ce poème dit bien ce que l’enfance devrait être.
Est-ce que vous avez connu des enfants malheureux, pour si bien en parler dans votre poéme?.
Moi oui, c’est pour cela que je comprends votre message.
Merci pour ce commentaire Maryline, et pardon de ne pas l’avoir vu, mais voilà, je manque de temps et loupe souvent des lectures, vu que le défilement est rapide…
Et surtout merci de ce partage, oui, ce sujet me tient particulièrement à cœur et comme je côtoie les enfants tous les jours (j’enseigne en grande section de maternelle), je vois des blessures et des empreintes qui fragilisent certains plus que d’autres….
Oui je comprends bien et dans votre fort beau métier, si quelquechose de suspect sur un enfant et qui se renouvelle assez souvent(au moins deux fois), vous pouvez le signaler à l’aide aux enfants maltraités, dont vous avez le numéro de téléphone.C’est un devoir, une obligation car des petits êtres innoçents en meurent ou sont meurtris pour la vie. »Qu’il soit étranger, qu’il soit noir ou blanc, malheur à celui qui blesse un enfant ».