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Effectivement du grand art que ce poème construit sur deux rimes sans qu’aucune ne tombe de façon artificielle. D’où l’importance, comme le disait Gérard dans un précédent commentaire, du choix des rimes avant de commencer le poème.
Je n’ai pas été gênée par le « au » qui commence le second hémistiche de l’avant-dernier vers ; un peu plus par l’hiatus.
Mais au-delà des hiatus et des singulier/pluriel, j’ai été très sensible à ces vers qui évoquent si bien, sur deux rimes seulement, l’ambiance qui régnait alors dans ce coin de pays. Je ne l’ai pas connue mais Monique me parle souvent de cet heureux mélange des nationalités et des religions qui ne posait aucun problème dans son village et où chacun semblait s’enrichir des différences des autres. Cela s’appelle sans doute la tolérance.
Très évocateur d’images ce poème
Bravo
Le labeur, la fraternité dans la travail, la diversité des origines pour un univers rude où toute la poésie émanait précisément de la différence.
Et pourquoi ne pas franciser les fatmas en mettant un S au pluriel?….
Plus de hiatus! Magique, non?!
Pour moi, dès lors que deux voyelles s’entrechoquent, que l’une soit un son ouvert et l’autre fermé ou non, il y a hiatus. Les seuls hiatus autorisés, en versification bien sûr, sont ceux à l’intérieur des mots (par ex. tué) et à la fin d’un vers et début de l’autre.
A signaler par ailleurs que la conjonction « et » doit toujours être suivie d’un mot commençant par une consonne, sinon il y aurait hiatus, malgré le t, car le mot ne peut en aucun cas s’élider. Idem pour « chacun un », qui est un hiatus malgré le n, en raison du son identique.
Merci Isabelle pour ces précisions. Cela signifierait donc que la règle exclurait tout hiatus, dans l’acception grammaticale du terme, et non pas seulement ceux qui provoqueraient une dissonance ou autre sensation désagréable à l’oreille.
Toutefois, si je me réfère à l’article hiatus que développe la grande encyclopédie Larousse en 22 volumes, cette règle ne serait plus d’usage de façon absolue comme l’avaient édictée Malherbes et Boileau. Je cite :
« La règle de l’hiatus était artificielle et illogique ; il était absurde de proscrire tu es et d’admettre tuer, de permettre une vraie amie et d’interdire un vrai ami. Certains hiatus n’étaient évités qu’au prix d’artifices graphiques, comme celui qui faisait écrire Ho ! Ho ! au lieu de Oh ! Oh !
Enfin l’évolution de la prononciation, qui a fait disparaître certains h aspirés et a transformé certaines voyelles nasalisées a créé une multitude d’hiatus dans les vers classiques tels que nous les prononçons actuellement. Aujourd’hui d’ailleurs, cette règle est complètement abandonnée »
Il semble donc y avoir matière à réflexion.
Claudio. Oui, bien joué ! C’est effectivement une solution. Mais ici cette solution équivaudrait à un artifice introduisant à mes yeux un quasi barbarisme. Par ailleurs, pour éviter le hiatus, il conviendrait alors de faire la liaison Fatma z’ aux Vierges transalpines, ce qui, à l’oreille m’apparaît plus disgracieux encore que le hiatus.
Donc, tout bien pesé, je garde la forme actuelle. Merci en tus cas pour ta proposition.
Pour confirmer mon propos, lorsque tu tapes « des fatma » sur Word, le logiciel de correction automatique te rajoutes systématiques le S….
en ce qui concerne la définition du Hiatus, je ne puis donner que raison à Zaz….
« La règle de l’hiatus était artificielle et illogique ; il était absurde de proscrire tu es et d’admettre tuer, de permettre une vraie amie et d’interdire un vrai ami. Certains hiatus n’étaient évités qu’au prix d’artifices graphiques, comme celui qui faisait écrire Ho ! Ho ! Au lieu de Oh ! Oh !
Enfin l’évolution de la prononciation, qui a fait disparaître certains h aspirés et a transformé certaines voyelles nasalisées a créé une multitude d’hiatus dans les vers classiques tels que nous les prononçons actuellement. Aujourd’hui d’ailleurs, cette règle est complètement abandonnée »
Holà bijou, tout doux….
Voilà qui bouscule une des règles fondamentales de la versification…. Peut-on faire confiance absolue à Monsieur Larousse ?…. Bien des fois, j’ai vu des définitions contradictoires ou plus complètes et précises dans d’autres Robert, Quillet et compagnie…. Monsieur Larousse est celui à qui je me fie le moins…. Bon évidemment, je n’ai pas la super encyclopédie.…
« Aujourd’hui cette règle est complètement abandonnée » ?!… Première nouvelle…. Abandonnée par qui ?…. Première fois que j’entends ce son de cloche…. Il me semble encore nombreux ceux qui la respecte…. Serions-nous dans l’erreur ?….
Je ne puis qu’être d’accord avec l’illogisme de « tu as » qu’il est parfois trop difficile d’éviter, et « tuas » que l’on ne peut pas éviter puisque le hiatus est déjà intrinsèque au mot, mais le pauvre poète ou parolier ne peut quand même pas changer la langue française, même si ce mot il est pas beau, il est pas beau …. Mais il peut tenter d’éviter au maximum ces affreux hiatus provoqués par le juxtaposition de deux voyelles qui s’entrechoquent et écorchent l’oreille…. Il ne devrait pas les provoquer, lui, le champion de la métrique et du rythme dans ses bouts rimés…. Au risque de me répéter, ne pas fermer la bouche entre les deux voyelles donne vraiment un son des plus malheureux, comme une prononciation de débile n’arrivant pas à s’exprimer ; « a en », « a é », « o a » j’en passe et des meilleurs…. Claquer ces voyelles avec une consonne est bien plus joli…. Par exemple, pour ma part, j’ai des difficultés de prononciation quand je commence une phrase par une voyelle, surtout le A…. Commencer à parler la gueule ouverte, j’en bégaierai parfois…. C’est l’effet que me font les hiatus…. Pour ma part, je continuerai à proscrire au maximum les hiatus de mes textes et mes chansons…. En revanche, tout à fait d’accord avec le « vrai ami » et la « vraie amie », le E étant dans ce cas TOTALEMENT muet, (ce qui n’est pas le cas à la rime) le hiatus est bien présent et écorche tout autant l’oreille par sa difficulté de prononciation…. Pour ma part, je l’avais déjà dit à Zaz, j’éviterai autant le « vrai ami » que la « vraie amie »….
Ceci est mon opinion et n’engage que moi….
Je suis curieux de lire la réaction de notre championne en versification classique….
Mis à part cela, Gérard, les sons Z ne me choquent pas et je trouve plus joli « les fatmas aux vierges transalpines » que « fatma aux »…. Chacun ses sonorités…. D’ailleurs c’était un artifice très usité chez les trouvères qui ainsi évitaient artificiellement les hiatus…. L’on n’hésitait pas à chanter « Me suis baigné-z-à la fontaine » pour que cela coule mieux, oserais-je dire, alors que le Z orthographiquement n’avait rien à faire là… C’est quand-même vrai que prononcer « baigné à » ce n’est vraiment pas beau, pas beau…
Dernière publication sur Photos, Reportages, Chansons, Venise : PREMIERS ESSAIS DE MA FOCALE FIXE 35 mm ouverture 1.4
Tout à fait d’accord. C’est la définition grammaticale, mais je me posais des questions au sujet de l’usage à partir du propos encyclopédique rapporté. L’usage doit donc encore ici faire primer l’effet poétique, et c’est une constante à ne jamais perdre de vue dans les licences et diverses « entorses » aux règles communément admises.
Sur le S de Fatma, oh, Claude, ne me dis pas que le correcteur de Word peut servir de référence !
Mais en fait c’est la liaison qui me gêne encore plus que le fait de franciser un nom dont le beauté tient à mes yeux dans l’origine. C’est en effet une contraction par l’usage de Fatima. Mais c’est une autre histoire…
Je ne connais pas l’origine de Fatma, je vais chercher….
Word n’est pas une référence, c’était pour dire que dans l’usage le mot est francisé, donc décliné au singulier comme au pluriel….
Je n’ai trouvé que des définitions lapidaires, ton encyclopédie doit surement en dire plus :
Prononc. et Orth. : [fatma]. Var. fathma ds Lar. Lang. fr. (cf. aussi CENDRARS, Bourlinguer, 1948, p. 84). Étymol. et Hist. 1900 (NOUGIER Notes, p. 115). De Fāṭima, nom de la fille du prophète Mahomet; prénom très répandu parmi les femmes musulmanes, d’où son emploi par les Européens comme nom commun pour désigner une femme musulmane
Mais nos messages s’entrechevêtrent…. Je vois ta réponse du message d’avant, mais tu n’as pas encore lu mon message d’après….
Ferions-nous trop de commentaires ?
Serions-nous de vraies pipelettes ?….
Des vrais pipelettes…sans doute et mon nom d’origine germanique ne m’exempte pas de ce qu’on, dit des latins avec les mots et avec les mains !
Tes sources confirment les miennes. Quant au S, on ne va pas disserter sur le sexe des anges. Fatma, c’est simplement pour moi un nom que j’ai vu écrit et que je respecte comme une sorte d’idéogramme. Pour le reste, je m’abstiens tout de même de mettre un s à concerto, question de « poids historique du mot », et bien que ce soit maintenant toléré. Tu vois, je fais une entorse à mon souci global de faire évoluer les langues avec l’usage qui traduit une image de l’histoire..Nous avons nos petites raideurs…ou en étant moins sévères avec nous-mêmes, nos côtés coeur à la barbe des linguistes et grammairiens !
Allons, Claudio, pourquoi « pipelettes » ? Le mot existe bien au masculin : « pipelet ». Il faut savoir assumer et ne pas féminiser nos défauts, si tant est qu’il s’agisse ici de défaut !
merci Pierre….
Je me suis rancardé….
« Prononc.: [piplε], fém. [-εt]. Étymol. et Hist.1. 1854 «concierge» Pipelet. Portier… On dit au féminin pipelette); 2. 1921 «personne bavarde» (Genevoix, loc. cit.); 1952 adj. (H. Bazin, loc. cit.). Empl. comme nom commun de Pipelet, patronyme d’un concierge dans les Mystères de Paris (1842-43) d’Eugène Sue »
Je l’ai toujours utilisé au féminin, je ne me souviens pas l’avoir entendu au masculin…. Autant pour moi et mille excuses Mesdames….
Je l’avoue donc, nous sommes un peu pipelets…
Dernière publication sur Photos, Reportages, Chansons, Venise : PREMIERS ESSAIS DE MA FOCALE FIXE 35 mm ouverture 1.4
Mais non Claudio,
Tout ça, c’est du pipeau!
Que vous soyiez un peu pipelets bien sûr!
Et non-pas le terme si justement défini par Pierre!
C’est vrai çà!…Comment des hommes, à défaut d’être bavards puisque s’exprimant par le biais d’un blog, pourraient-ils se révéler prolixes ?…