En accord avec Armand BEMER, j’avais l’intention de partager à l’assemblée quelques sensations saillantes liées à ma première expérience de membre du jury de
la SPAF. Malheureusement, nous avions pris un peu trop de retard sur le programme à l’issue des quelques incidents techniques qui ont perturbé la matinée, et je profite donc des possibilités offertes par le blog pour rétablir cette occasion avant que le temps nous éloigne de cette remise des prix.
Tout d’abord je voulais vous dire combien j’ai été heureux, et honoré de recevoir les manuscrits des candidats, occasion de passer les trop rares instants que je peux encore consacrer à la lecture, avec des poètes lorrains. Mais combien de fois, combien de fois de trop me suis-je arrêté dans les lectures, trébuchant sur ce que l’on nomme un « ver bancal », en m’entendant souvent dire tout haut : « quel dommage » !
En effet, il aurait souvent suffi d’une toute petite reprise pour que la musique coule et m’emmène naturellement au terme du voyage. Et je me suis dit « mais s’il ou si elle avait relu son texte à voix haute, sûrement qu’il ou elle n’aurait pas laissé passer cet « accroc ».
J’ai abandonné depuis bien longtemps ma casquette d’enseignant et je n’ai pas la prétention de professer. Mais en tant que membre du jury, je sentirais malhonnête, et même inamical de demeurer silencieux dans une forme d’indifférence.
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