Les arbres et les maisons ne sont dans le lointain
Que des instantanés de vie en miniature…
Leur image éloignée montre leur vraie nature
Fugace et d’impressions qui se gomment à la fin !
Le peintre, à sa façon, les surprend et les peint
De cent taches posées n’ayant guère d’allure
Pour l’œil trop approché n’y voyant qu’imposture
Jusqu’à sa décision de les voir de plus loin…
Alors, les regardant désormais bien en face,
Celui-là se suspend, comme l’eau sur la glace
Qui en réfléchissant à peine s’y lie le cœur !
C’est ainsi que tout Art s’aperçoit qu’il est juste
Au regard qu’ont les gens révélant leur bonheur
D’oublier ce départ qui, chez certains, s’incruste !
0 Réponses à “Regards novices”