Le charmant souvenir des câlins de ma mère
Simplement ne s’efface pas.
O ces instants d’amour ! Mon cœur les énumère
Plus fort bien après son trépas.
Un flux de regrets rend ma vie encore amère
D’où s’exhume d’un pur linceul,
Souhaitant me sentir moins seul,
Le charmant souvenir des câlins de ma mère.
Devant son jardin sépulcral,
Délaissant la source du Graal,
J’orne d’éternité dans mon âme éphémère
Le charmant souvenir des câlins de ma mère.
Quelle maman ne serait pas sensible à ce beau poème ?
J’adore la rime, surtout quand elle est parfaite….
Merci professeur Chiron….
envoyez nous encore de beaux poèmes comme celui-ci, je ne m’en lasse pas….
Cela me fait penser à un vieux poème dont on retrouvait toujours le dernier vers à chaque quatrain et cela accentuait l’idée première et l’âme de cette poésie.Mais je ne me souviens plus du contenant.Enfin cela donne envie d’en créer une.Merci monsieur.