Le funiculaire

Publié le 29 octobre 2010 dans * DALSTEIN Gérard. 5 Commentaires

5 Réponses à “Le funiculaire”

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Joelle di SANGRO
29 octobre 2010 à 09:13

L’ Amour, seul, Maître du temps et de l’Espace…

Comme cela est bien évoqué!
Viviane Montagnon
29 octobre 2010 à 20:10

J’aime bien ce texte qui part d’un mobiler somme toute banal et qui l’entoure de poésie….
Montagnon Viviane
30 octobre 2010 à 10:15

J’aime bien l’idée qu’un mobilier somme toute banal et qu’on voit sans le voir fasse l’objet d’une texte plein de poésie
Dalstein
1 novembre 2010 à 23:17

Oui, ça n’est pas une simple idée.
Tout petit, j’ai reçu en héritage, je ne sait d’où, cette étrange faculté de m’émerveiller devant ce qui semblait ordinaire ou même laid, comme les paysages industriels des vallées usinières du pays-Haut lorrain.A tel point que les aînés m’appelaient « le fou ».
N’est-ce pas d’ailleurs une des facultés du poète de voir et de chanter ce qui n’est communément visible, comme s’il ouvrait une seconde paupière ?
Je me souviens de cette première strophe d’un rondeau de Théodore de Banville (le thé) qui m’a enchanté dans ce registre des objets familiers qui tout à coup prennent vie, et font naître un rêve. Je le cite :

« Miss Ellen, versez moi le thé
dans la belle tasse chinoise
où des poissons d’or cherchent noise
au monstre rose épouvanté. »

Un simple objet qui ouvre sur un univers d’enchantement, car la suite est à la hauteur !
Montagnon Viviane
3 novembre 2010 à 00:18

Oui, vous avez raison : nous avons des yeux, mais nous ne savons pas toujours voir….Or tout peut être enchantement si nous gardons cette merveilleuse faculté de toujours découvrir, d’apprendre, de regarder…vous avez cette faculté….
Cordialement.