Coulée

Publié le 29 septembre 2010 dans * DALSTEIN Gérard. 12 Commentaires

12 Réponses à “Coulée”

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Zaz
29 septembre 2010 à 05:28

J’aime beaucoup ces deux vers qui reviennent comme un leitmotiv après chaque strophe d’alexandrins et qui résument si bien le destin de la Lorraine. C’est beau et fort comme comme le bruit du marteau pilon sur un lingot dans un atelier d’estampage.
Joelle di SANGRO
29 septembre 2010 à 09:24

…La force, la grandeur et l’immense courage des hommes de l’acier…

La force la grandeur et le courage de la Lorraine au long de son Histoire mise en parallèle.

Merci Gérard pour de beau cliché.
Zaz
29 septembre 2010 à 11:40

La question n’est pas idiote. A la première lecture, cela ne m’a pas choquée. C’est la magie de la belle poésie qui emporte le lecteur dans un tourbillon d’images et de sons au point de lui faire oublier la syntaxe. Ce n’est donc qu’à la deuxième lecture, après avoir lu ton commentaire, que la question se pose à moi aussi…
WEYMESKIRCH Georges
29 septembre 2010 à 11:48

Quel vibrant hommage à notre feue sidérurgie !
Avec vous la coulée continue.

Sois confiant mon fils,la Lorraine
A pris pour toi d’autres chemins.
Claudio Dante Enzo Boaretto
29 septembre 2010 à 12:50

j’ai cru comprendre que c’est le haut-fourneau (dont le ventre ruisselle) qui ensorcèle les vésuviens?….
Zaz
30 septembre 2010 à 09:21

Tant mieux si la faute peut être corrigée avant publication. Je sais par expérience qu’il est très difficile de publier un ouvrage sans aucune faute ou coquille. C’est pourquoi je demande toujours à mes lecteurs, quand je les rencontre, de me les signaler s’ils en trouvent à la lecture, afin d’y remédier pour des tirages ultérieurs. Souvent les gens hésitent par crainte de vexer l’auteur. Cependant il ne faut pas prendre une remarque de ce style comme un grief et en être blessé, mais au contraire comme une preuve de lecture attentive et accepter avec humilité, comme tu le fais Gérard, qu’on ait pu laisser passer une bourde malgré les nombreuses relectures. On a ainsi la chance de pouvoir améliorer l’ouvrage et c’est tant mieux. Nul n’est infaillible et on a toujours besoin des autres pour progresser.
Katy Loby
30 septembre 2010 à 10:23

moi je voulais juste dire que j’aime bien les dessins au crayon qui entourent les poèmes
est-ce de vous Gérard?
katy
Dalstein
30 septembre 2010 à 12:11

Merci Isabelle. Oui, la bourde, c’est la bourde, et sans être masochiste, elle a quelquefois quelque chose qui rassure, et je ne m’explique pas bien pourquoi. En tous cas, ce qui me rassure davantage, c’est qu’elle ne demeurera pas. Merci encore.
Pour répondre à Katy, les motifs qui encadrent les textes du recueil « Les feux d’Eden » ont été dessinés à la plume. A l’époque j’avais écrit les textes en calligraphie à l’intérieur de ces motifs. Nous n’avons pas retenu la calligraphie pour l’édition car elle rend la lecture plus difficile qu’avec une police très classique comme Arial. Chaque texte a son propre motif.
Marie France Genèvre
30 septembre 2010 à 13:46

Ah, la précieuse relecture….
Katy Loby
30 septembre 2010 à 14:46

eh bien ! chapeau ! pour ces dessins à la plume d’une grande finesse
talent d’écrire et de dessiner , vous cumulez …
Vous n’êtes pas le seul , il y en a des personnes qui jouent du violon, d’autres qui chantent, d’autres qui savent par-coeur des anciennes récitations et les déclament avec ardeur, d’autres qui peignent, d’autres qui dansent .. tout en écrivant leurs pensées
passagères…
le monde est peuplé « d’artistes » = qui veut dire pratiquer d’un art..
Certains se payent le luxe d’être doués pour plusieurs choses et contrairement à ce que pensent la plupart des gens savent très bien cumuler.. bien sur, vous me direz que l’on ne peut pratiquer qu’un art à fond et survoler plusieurs en surface .. eh bien non !! tout dépend de la personne et de ses capacités… de son temps, et de la bonne fée qui s’est penchée sur son berceau.
katy
Zaz
1 octobre 2010 à 01:20

… et aussi ne pas oublier ceux qui vivent à nos côtés et qui souffrent parfois de nos passions…
Katy Loby
4 octobre 2010 à 09:47

tout cela dépend….les personnes qui vivent à côté de nous , soit peuvent avoir leur propre passion, soit aimer la notre au point d’y faire « corps »
mais surtout c’est à nous qui vivons à leurs côtés de garder pour eux le temps nécessaire, une passion dévore oui, mais l’amour aussi… alors dévorons les deux !!