Le poème d’aujourd’hui est le 900e article publié dans cet espace. Contre vents et marées, le blog de la SPAF Lorraine se maintient. Malgré un recul constant des visiteurs depuis le mois d’avril, il comptabilise à ce jour 49111 visites et 424 commentaires (depuis la suppression des quelques 3000 commentaires en mai) et occupe le sixième rang dans les 3462 blogs dédiés à la poésie et la littérature de l’hébergeur unblog.
13 Réponses à “900 articles”
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C’est là un excellent résultat et tu peux, Isa, en être légitimement fière.
Le blog est le reflet de la délégation de Lorraine, vivant, coloré.
Les oeuvres présentées sont d’une grande diversité et c’est heureux car ainsi, l’éventail de ce que l’inspiration de nos membres révèle se trouve offert à nos visiteurs.
Mon seul regret est que l’on ait dû se résoudre à établir une censure, même si celle-ci est infime.
Mais c’est là le prix à payer pour conférer à ce blog sa sérénité.
Et vive la poésie plurielle…
D’accord, Joëlle, mais « censure » est-il le mot juste, moi je ne crois pas qu’il s’agisse d’une censure (d’ailleurs, une « censure minime » n’est déjà plus vraiment une censure).
Lors d’un récent commentaire (voir dans « Echappée belle), j’ai associé la censure à l’exclusion et à l’obscurantisme et je ne voudrais pas que l’on croit que je veuille mettre dans le même sac ce que fait Isabelle et ce dont se rendent coupables les régimes dictatoriaux et autres potentats … (pour faire court). La « vigilance » dont Isabelle fait preuve est d’une autre veine!
Tiens, ceci me rappelle ce temps où l’on devait « trier » les lentilles pour en « éliminer les petits cailloux » qui, oubliés, auraient fait « grincer » quelques dents … ou pire !
C’est exactement cela : je trie les commentaires pour éliminer les critiques négatives qui feraient grincer les dents des auteurs concernés.
Le TLF dit : « Institution créée par une autorité, notamment gouvernementale, pour soumettre à un examen le contenu des différentes formes d’expression ou d’information avant d’en permettre la publication, la représentation ou la diffusion. » L’institution, en l’occurrence, c’est moi…
Quand un internaute ne peut pas exprimer en des termes clairs mais non vulgaires qu’il n’apprécie pas le texte d’un auteur, cela s’appelle la censure.
Plus largement étendue, cette pratique reviendrait à interdire la diffusion des ouvrages et des émissions qui critiquent le pouvoir en place. D’ailleurs, je me demande pourquoi j’utilise le conditionnel… Mais cela est un autre débat.
Cela dit, je n’ai pas tous les jours des commentaires négatifs !
C’est une excellente idée que d’évoquer la vigilance!…
Notre Président, mon cher Vincent, ne pourra qu’être flatté par cette allusion!
Vincent VIGILANT, je tiens à préciser…et non-pas Pierre VINCENT…
( cela devient un peu compliqué…)
Désolé, Joëlle, pour cette « complication » mais, je n’y suis pour rien et je ne peux même plus transmettre la réclamation à mon père … qui, d’ailleurs, n’y était pour rien non plus … !
Certes, Pierre! et ceux de Vincent pas davantage.
Mais j’ai peut-être trouvé un remède à cette « complication »:
Il suffirait tout bonnement de t’interdire d’écrire sur le blog le mot » vigilant ».
Tu vois, c’est très simple!…( censure? vous avez dit censure?)
Pour ce qui est des petits cailloux dans les lentilles, cela nous ramène à la grand’mère de Mado la Niçoise. c’est à cause du galet qu’elle mettait dans la soupe de poisson pour lui donner le goût de la mer que: « le grand’père, il a eu le dentier! »
Je n’ai pas écrit « vigilant » (1), mais vigilance et je ne suis pas plus responsable des interprétations que de mon patronyme. Quant à la censure, je préfère botter en touche !
Pour ce qui est du caillou, j’en connais un rayon, ce n’est pas impunément que l’on s’appelle Pierre. Je connais aussi la soupe au caillou (pas au poisson) et elle est bien plus économique puisque l’on ne consomme pas le caillou qui peut reservir pour une autre soupe … et ainsi de suite. Bon appétit !
(1) Mais, je m’aperçois que j’ai quand même écrit « vigilant », malgré « l’interdit », mille excuses, j’essaierai d’être plus « attentif » la prochaine fois !
Deuxième service ! simplement pour ajouter le « s » qui manquait au premier … « resservir » … désolé !
ça, c’est une pierre dans mon jardin !…
et j’avoue que cela ne me laisse pas de marbre!
Mais, tout de même, mon cher Pierre…avoue que cela cimente nos relations…
J’avoue, Joëlle, mais si le ciment ne tient pas, alors, « laisse béton », il y aura toujours les petits cailloux du chemin pour ne pas se perdre !
C’est bien, Pierre!
Ta répartie est pleine de finesse et aucunement graveleuse.