Les catastrophes sont chiffrées en dollars.
A quand le chiffrage en hectares
Pollués, détruits, salis
Pour des décennies ?
Sans vergogne on détruit le vivant
En puisant ce que la terre
Avait enseveli pour longtemps.
Non contents des fléaux naturels
Que nous précipitons
Par ce que nous dérangeons,
Nous éloignons la vie
De notre futur.
En oubliant la nature,
Nous perdons l’harmonie
De nous-mêmes y compris.
Et nos sociétés meurent
D’aisance.
Le progrès est cette particule, matière ou énergie, salvateur ou délétère.
« Et nos sociétés meurent
D’aisance »
Quel magistral point d’orgue de votre poème!
Quel subtil parfum d’oxymore!
L’oxymore, j’adore!
J’ai aimé le trouver
Merci
Oui, ce progrès (quand trop poussé) à la recherche d’une illusoire facilité, d’un confort lénifiant et qui nous retombe dessus…
Oui Marie France vous êtes au plus juste dans ce que vous dites
je partage TOTALEMENT votre point de vue ( si je puis dire car il y a total) dans le mot ….( aucun jeu de mot de ma part sur qq chose d’aussi grave que cette marée noire)
amicalement
katy
Oui, c’est la « Total » comme vous dîtes…euh BP
BP = Beaucoup Pollué !! je ne sais pas comment ils vont faire pour dépolluer ces sites.. c’est vraiament horrible !!!
je suis révoltée ..
bravo d’avoir fait un texte sur ce sujet
amicalement
Katy
Ou encore Baril Poisseux, ou Benzine Puante…
Un vraie catastrophe, oui
Dire qu’on s’en sert tous…pas le choix
A +
MF