L’océan

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5 Réponses à “L’océan”


  • Marie France Genèvre

    Bruissante contemplation

  • Vieux monsieur de plus de quatre fois vingt printemps, j’ai eu du mal à déchiffrer le texte en surimpression.
    J’ai relevé un deuxième écho dans le vers « Dans le vacarme blanc de ses flots virulents ». Le puriste que je suis s’en est en effet ému.

  • Cher Charles,

    Vous me pardonnerez, je l’espère, cette familiarité, mais comme vous ne donnez que votre prénom…
    Pour la forme, je peux effectivement concevoir que la lecture puisse ne pas être aisée.
    Pour le fond… vous avez raison de vous émouvoir : deux échos dans un poème de seize vers qui se veulent rigoureusement classiques, c’est beaucoup trop. A un concours de qualité avec dans le jury des personnes de votre trempe, ce poème n’aurait obtenu, à raison, aucun prix.
    Je suis cependant ravie de votre commentaire pertinent qui prouve une lecture très attentive et une excellente connaissance de la prosodie. Il est toujours très intéressant d’avoir l’avis de personnes compétentes, et de toute évidence dans ce domaine vous l’êtes. Merci donc de ne pas être complaisant et de me signaler toutes les erreurs que pourraient comporter mes poèmes, ceci afin de les améliorer. Et puis, comme disait Sarah Bernhardt, en bien ou en mal, peu importe, pourvu qu’on en parle !

  • Joelle di SANGRO

    C’est ce que l’on appelle la grande classe!

    Un dialogue empreint de courtoisie entre deux passionnés de Belles Lettres.

    L’érudition de l’un et l’autre et une élégance qui fait de cet échange que l’on a plaisir à le découvrir.

    Cela va de pair avec la grande humilité de la  » mise en cause » qui sait que l’on ne cesse jamais de progresser…et que c’est là tout ce que l’Art recèle de passionnant.

    Une quête sans fin vers une perfection qui toujours se dérobe pour mieux se faire désirer.

  • Oui, Joëlle, tu connais bien ma quête de perfection, sans perdre de vue que l’être humain, par définition, est toujours perfectible. Mais je pense effectivement que l’autoédition ne doit pas être un prétexte pour de l’à peu près. J’estime au contraire devoir tout faire pour ne pas décevoir le lecteur qui fait confiance à un écrivain de l’ombre. Mais c’est difficile d’être à la fois écrivain, correcteur, maquettiste et commercial…
    Cela dit, j’aurais aimé que Charles me dise, aussi, ce qui lui a plu dans mon poème. Peut-être le fera-t-il quand il aura un poème nickel. Mais comme j’ai été à bonne école avec mon mentor qui se montrait intraitable sur la moindre petite faute de prosodie, la critique ne me rebute pas, elle me stimule au contraire. C’est grâce à lui et ses critiques cinglantes que j’ai progressé. Il n’utilisait pas la langue de bois et ne flattait pas mon égo ; ses avis étaient difficiles à entendre, le bougre ne semblait jamais content ! Mais au moins, quand il m’a félicitée, j’ai su que le compliment était mérité et sincère.

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