Musicalement vôtre

Ô musique éternelle

Ô musique souveraine, intemporelle !

J’écoute une symphonie,

Je suis en harmonie

Et j’aime la vie…

Avec Mozart,

C’est toujours le grand art !

Avec Bach je monte aux cieux !

Avec Vivaldi,

Je vais même au paradis…

Ô musique !

Dynamique, euphorique…

Tu épouses tous mes sentiments

Et jamais tu ne me mens…

Ô musique !

Le surnaturel

Entre dans mes veines.

Pas de rancune,

Pas d’amertume,

Pas de place pour le chagrin !

Tes chemins

Ne sont jamais importuns ;

Malgré les ronces et les épines,

Tu es ma drogue, mon adrénaline,

Mon amphétamine,

Mon absinthe divine.

8 Réponses à “Musicalement vôtre”


  • Dans un état d’éthérisation: c’esr merveilleux!!!

    Bien amicalement.

  • Maïté…

    Etat d’étérisation ok, ( j’allais écrire » hoquet »…), mais pas la Muse- hic, tout de même!

    Cela dit, » Qu’ importe le flacon, pourvi qu’on ait l’ivresse »!

  • Ah oui: j’oubliais!

    Dans tes rimes en  » ine », on pouvait aussi trouver la  » petite fine » de nos grands’ mères.

    Tu sais, lorsqu’elles recevaient quelqu’un elles proposaient:

     » Vous prendrez bien une petite fine?  »

    Il s’agissait d’un petit verre de liqueur un peu moins « éthérée », certes, mais bien sympathique tout de même.

  • Ma chère Joêlle!

    Par cette chaleur!!!

    De la fine ou de l’absinthe… il vaut mieux s’abstenir!

  • C’est ce qu’on appelle  » la jouer fine »!

    Bravo Maïté!

  • Eh ! Maïté, si Vivaldi t’emmène au paradis, Gabriel (Fauré, bien sût)t’emmenera-t-il au ciel ? Et, je n’ose imaginer où t’emmènerait Wagner … mais tant que tu es en harmonie avec la symphonie, pas de soucis …
    Joëlle, me permets-tu un petit rajout à ta citation ? (qu’importe le flacon, pourvu … etc …)
    Musset écrit, entre autre, dans la dédicace de son poème dramatique « La coupe et les lèvres » :
    « L’amour est le grand point, qu’importe la maîtresse ?
    Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse ? »
    C’est le second vers qui est le plus souvent cité et seul et jamais sans les points d’interrogation, dommage, car là est toute la différence. Je laisse à ce cher Alfred la responsabilité de l’allégorie (flacon ! tout de même ! !)

  • Cher Pierre,

    Nous avions l’allegretto sous un autre commentaire et nous voici dotés de l’allégorie…

    Allez, gaussons nous un peu!

  • Lorsque la fine a produit son effet,il est alors possible de parler de musique alitée.

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