Ô musique éternelle
Ô musique souveraine, intemporelle !
J’écoute une symphonie,
Je suis en harmonie
Et j’aime la vie…
Avec Mozart,
C’est toujours le grand art !
Avec Bach je monte aux cieux !
Avec Vivaldi,
Je vais même au paradis…
Ô musique !
Dynamique, euphorique…
Tu épouses tous mes sentiments
Et jamais tu ne me mens…
Ô musique !
Le surnaturel
Entre dans mes veines.
Pas de rancune,
Pas d’amertume,
Pas de place pour le chagrin !
Tes chemins
Ne sont jamais importuns ;
Malgré les ronces et les épines,
Tu es ma drogue, mon adrénaline,
Mon amphétamine,
Mon absinthe divine.
Dans un état d’éthérisation: c’esr merveilleux!!!
Bien amicalement.
Maïté…
Etat d’étérisation ok, ( j’allais écrire » hoquet »…), mais pas la Muse- hic, tout de même!
Cela dit, » Qu’ importe le flacon, pourvi qu’on ait l’ivresse »!
Ah oui: j’oubliais!
Dans tes rimes en » ine », on pouvait aussi trouver la » petite fine » de nos grands’ mères.
Tu sais, lorsqu’elles recevaient quelqu’un elles proposaient:
» Vous prendrez bien une petite fine? »
Il s’agissait d’un petit verre de liqueur un peu moins « éthérée », certes, mais bien sympathique tout de même.
Ma chère Joêlle!
Par cette chaleur!!!
De la fine ou de l’absinthe… il vaut mieux s’abstenir!
C’est ce qu’on appelle » la jouer fine »!
Bravo Maïté!
Eh ! Maïté, si Vivaldi t’emmène au paradis, Gabriel (Fauré, bien sût)t’emmenera-t-il au ciel ? Et, je n’ose imaginer où t’emmènerait Wagner … mais tant que tu es en harmonie avec la symphonie, pas de soucis …
Joëlle, me permets-tu un petit rajout à ta citation ? (qu’importe le flacon, pourvu … etc …)
Musset écrit, entre autre, dans la dédicace de son poème dramatique « La coupe et les lèvres » :
« L’amour est le grand point, qu’importe la maîtresse ?
Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse ? »
C’est le second vers qui est le plus souvent cité et seul et jamais sans les points d’interrogation, dommage, car là est toute la différence. Je laisse à ce cher Alfred la responsabilité de l’allégorie (flacon ! tout de même ! !)
Cher Pierre,
Nous avions l’allegretto sous un autre commentaire et nous voici dotés de l’allégorie…
Allez, gaussons nous un peu!
Lorsque la fine a produit son effet,il est alors possible de parler de musique alitée.