Oui, emmenez-moi encore dans votre univers,
L’univers flamboyant des poètes.
Emmenez-moi faire escale dans votre sphère !
Mon cœur est à la fête :
Il veut partager votre lumière
Et toucher à l’éphémère…
Je suis suspendue à vos accents si troublants !
Vos mots pudiques et mélancoliques
Me bercent et m’enchantent…
Bien plus qu’une amante
Je serai votre égérie,
Votre muse.
Simple rêverie ?
Atmosphère vaporeuse ?
Fugue nébuleuse ?
Oh !Oui, emmenez-moi au-delà de moi !…
Je suis à bout, je me noie,
Je suis à vous, je suis… à toi !
Oh Oh! Maïté!…
Je sens que plus d’un vont se sentir interpellés…
Que de supputations ce poème va-t-il susciter!
Et peut-être même quelques beaux poèmes en réponse!
Alors… Personne ne relève l’invitation? Tss… (en ce qui me concerne, suis pas disponible avec la coupe du Monde à la télé!)
Oui…Ainsi perd-t-on parfois l’occasion de saisir la balle au bond…
Et le temps perdu ne se rattrape pas!!!
Le temps perdu ne se rattrape pas… c’est lui qui nous rattrape et nous emmène (comme le dit la poésie), en tutoyant la mort.
…le balles au bond non plus, Maïté!…
Voir l’équipe de France…
( mais à défaut de retourner le couteau dans la plaie,
ne renvoyons pas non plus le ballon dans le filet…)
Moi, Pascal, je suis plus fan de Maïté que des bleus, mais en cette période caniculaire j’hésite à m’approcher d’un poème qui dégage autant de chaleur ! !
A quand les poèmes « climatisés »…
Torride?, vous avez dit torride?
Certes, car effectivement, mieux vaut torride que » tôt rides »!
Carpe diem!