Le désir est le lien
où l’amour devient lierre.
Je saoule à son regard mes lisières de nuit noire ;
je l’entends qui gémit et délivre mes doigts.
Et tant et peu se donne
que toujours je m’étonne
que les grains de sa peau, sous ma main, s’abandonnent,
abreuvant les déserts
où ma vie s’emprisonne.
j’aime beaucoup les « grains de sa peau sous ma main s’abandonnent
abreuvant les déserts .. »
hum! à fleur de peau !!touché subtil….le corps d’une femme comme une dune de sable ..
bravo Bernard
katy