Travaillant actuellement sur le 3e tome de ma saga familiale, je me suis fait la réflexion que j’avais bien de la chance de vivre à l’ère de l’informatique car l’ordinateur facilite grandement, sinon l’écriture, du moins la correction des manuscrits !
Et vous, avec quoi écrivez-vous ? Un sondage est en place.
3 Réponses à “De la plume à l’ordi”
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» De la plume à l’ordi » est un bien aimable raccourci pour définir les méandres de l’écriture.
Il est vrai que l’ordinateur est une fabuleux instrument, que les corrections nous permettent d’obtenir un travail impeccable et que, pour ceux de ma génération qui ont connu les aléas de l’utilisation de la machine à écrire, (alors que de plus, la photocopie n’existait pas…)ce mode d’écriture est quasiment magique.
Mais tracer des mots, les voir prendre forme sur le papier, voir l’encre » prendre vie » sur la page blanche! Quelle volupté!
Un fait, cependant m’intrigue:
Lorsque j’ai passé de longs moments à pianoter sur mon clavier et que je reviens à ma page blanche et ma plume, j’éprouve l’étrange impression de changer d’univers et, par là, d’accomplir une tâche totalement différente
A ton époque (hi hi !) la photocopie n’existait pas ??? Ah bon !?! Alors en revanche, les dinosaures étaient toujours là !…
La feuille blanche et le stylo – bille ou plume – et l’ordinateur sont effectivement deux univers distincts mais qui cohabitent néanmoins assez bien.
J’utilise le plus souvent l’ordinateur, mais j’ai toujours un cahier en route (le même depuis plusieurs années maintenant…) pour les poèmes. Et quand, dans mon boulot, je dois rédiger une lettre, un article, un faire-part, une page pour un site web, que sais-je encore, bref quand je dois réfléchir en rédigeant, j’ai le réflexe papier/stylo.
En revanche, quand j’écris des nouvelles ou comme actuellement le 3e tome de ma saga, c’est évidemment sur l’ordinateur car l’histoire est déjà dans ma tête et mes dix petits doigts n’ont plus qu’à voler sur le clavier pour transcrire aussi vite que possible le film qui se déroule virtuellement devant mes yeux.
Tu m’avais compris, Isa!
Il est vrai qu’à présent, lorsque je copie un document de l’ordi grâce à l’imprimante, ou que je scanne un document pour l’envoyer ( comme les dessins humoristiques pour le blog ), je ressens l’émerveillement de la première fois!
J’ai connu la machine, le ruban qui sautait, le » typex » pour corriger ou la faute tout en bas du texte qui obligeait à tout reprendre.
Le papier calque, aussi, qui ne rendait pas les copies trés attrayantes…