Le lien maternel

Quelle mère, en son cœur, n’a jamais enfanté, 

Sur l’être mis au monde, la terrible crainte 

Qu’il achève trop tôt, ici-bas, son empreinte 

Ou se perde en chemin, l’esprit désenchanté ? 

 

Lors lui tisse une armure, tout de rais d’amour, 

Qu’il portera heureux, en songeant à sa reine, 

Affrontant, confiant, de son destin l’arène, 

Toujours prêt à brandir la fleur du juste humour ; 

 

C’est le lien maternel, c’est le vrai lien béni 

Qui unit l’un à l’autre, qui unit à tout autre 

Et permet, vaillamment, de devenir apôtre 

D’une fraternité Humaine à l’infini ! 

1 Réponse à “Le lien maternel”


  • isabelle rose P

    Quelle mère, en son cœur, n’a jamais enfanté,
    Sur l’être mis au monde une terrible crainte
    Qu’il achève trop tôt, ici-bas, son empreinte
    Ou se perde en chemin, l’esprit désenchanté ?

    Lors lui tisse une armure à ses rayons d’amour,
    Qu’il portera bien fier, en songeant à sa reine,
    Affrontant, confiant, de son destin l’arène,
    Prompt à lever la fleur du bienveillant humour ;

    C’est le lien maternel, c’est le vrai lien béni :
    Il allume un destin quand il prolonge l’autre
    Et permet, vaillamment, de devenir apôtre
    De notre Humanité, mystère à l’infini !

    Ce poème a été créé la veille de sa parution : quelques erreurs qui m’échappèrent dans l’élan sont, je l’espère ici, dans ce nouveau texte, adroitement redressées !

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