Derrière les forêts,
Par delà les montagnes,
Il n’y a plus de larme,
Plus de haine à donner.
Au dessus des volcans,
Plus loin que les étoiles,
Il n’y a plus de voile
Sur le bateau du temps.
Et là-haut dans l’espace,
Plus loin que l’infini,
Il n’y a plus de bruit,
Il n’y a plus de trace.
Dans le néant total,
Dans l’ombre et le silence,
Il n’y a que moi qui pense
Sur mon bateau sans voile.
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