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Archive journalière du 17 juin 2009

Résultats du sondage du 6 avril 2009

La question portait sur les poètes préférés. 49 personnes ont voté.
Baudelaire :       11
Hugo :                  8
Rimbaud :           7
Aragon :              5
Verlaine :            5
Prévert :             4
Apollinaire :       3
Autre :                2
Eluard :              1
Lamartine :       1
Ronsard :           1
Vian :                 1
Mallarmé :        0
De Musset :      0
De Vigny :        0
Villon :              0

Toutes mes condoléances aux quatre poètes qui n’ont récolté aucune voix. Cela ne veut pas dire qu’ils étaient nuls. Cela dit, moi qui suis une inconditionnelle de la poésie classique, je ne suis pas mécontente de voir arriver en tête Charles Baudelaire suivi de près par Victor Hugo ! Cela est très réconfortant à une époque où la prosodie semble relativement délaissée par les poètes actuels.
Par ailleurs, il est intéressant de noter que deux personnes ont voté « Autre ». Je sais que l’un d’entre eux est notre ami Jean-Jacques Chiron car il avait mentionné dans un commentaire avoir voté « autre » en pensant à l’excellent poète spécialiste des sonnets classiques : Jose Maria de Heredia. Peut-être le second qui a voté « autre » peut-il nous révéler son favori ?

Un nouveau sondage est en place sur le slam.

 

Congrès annuel de la SPAF

Il aura lieu les 26 et 27 septembre (toujours le dernier week-end de septembre, en principe) à Cossonay-Ville, en Suisse (entre la frontière française et Lausanne).
Des renseignements complémentaires, notamment formulaires d’inscription, devraient se trouver dans le prochain numéro d’Art & Poésie.

Contemplation

J’avais franchi le seuil de la petite église
La porte retombait en faisant un bruit sourd
Un rayon de soleil ornait le demi-jour
D’une poussière d’or qui volait, indécise 

Mon regard se perdait jusqu’à la voûte grise
Et la sérénité de cet humble séjour
Changeait l’Autel de bois revêtu de velours
En un prisme où l’Amour à l’infini, s’irise 

Un faisceau de couleur s’échappa  du vitrail
Et le marbre en reçut la splendeur de l’émail
Car devant l’Eternel s’inclinait la Lumière ! 

Lorsque très lentement se dissipa le charme
De mon cœur ébloui, le flot d’une prière
Porta jusqu’à mes yeux l’écume d’une larme. 




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