Quand succédant à l’obscurité de la nuit,
Survient l’aurore renouvelant ses serments
De paix, le monde reprend ses airs d’ennui,
Quand on lui parle de tuerie, de dénuement.
Alors que certains les comptent, d’autres en font des promesses
De tant de prisonniers, de blessés et de morts,
D’autres les pleurent, hurlant, gémissant leur faiblesses
Devant le sang versé, lamentable décor.
Ne peut-on espérer un monde sans guerre ?
Et faut-il se battre de nuit comme de jour
Contre certains préjugés venus naguère
Obscurcir l’horizon élevé par l’amour.
Chacun revendique ses droits, marche et en est tracassé
Contre la hausse on conteste, pour finir on s’abaisse,
On cesse le travail » pour la liberté de la presse «
Mais que fait-on pour acquérir et mériter la paix ?
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